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Il a décidé de dire ses quatre vérités à
Erik ten Hag. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que « Zidane »
n’a pas mâché ses mots envers l’ancien coach de MU…
C’est une déclaration qui a
surpris plus d’un observateur : un certain Zidane s’en est pris
frontalement à Erik ten Hag, regrettant amèrement son traitement au
sein de Manchester United. À première vue, on aurait pu croire que
Zinedine Zidane, la légende française, venait de régler ses comptes
avec le coach néerlandais. Mais l’histoire est toute autre, et elle
concerne un jeune talent trop longtemps ignoré par les Red
Devils.
Ce Zidane-là s’appelle Iqbal.
Formé à Manchester United depuis l’enfance, l’international irakien
de 22 ans avait suscité un bel enthousiasme lors de la tournée
asiatique de 2022, où ses qualités techniques avaient séduit.
Pourtant, après cette mise en lumière, plus rien. Ni minutes de
jeu, ni intégration réelle à l’équipe première.
Dans une interview à The
National, le milieu offensif raconte son isolement :
« Je n’étais qu’un numéro. Je voulais juste 10 minutes
pour prouver que je pouvais couler ou nager ».
Ten Hag
a-t-il gâché un talent nommé Zidane ?
Erik ten Hag, déjà critiqué
pour sa gestion de certains cadres, est directement visé par les
propos du joueur. Selon Iqbal, le coach lui aurait promis de la
patience, avant de le maintenir à l’écart, même en fin de saison.
« Il m’a empêché de participer à un tournoi, sous prétexte
de blessures dans l’effectif. J’ai espéré jusqu’au bout une
opportunité… qui n’est jamais venue », regrette-t-il.
Un Zidane dézingue Ten Hag :
le récit inattendu
Libéré de cette frustration,
Zidane Iqbal a rebondi avec succès au FC Utrecht, aux Pays-Bas. Le
club l’a titularisé à 21 reprises la saison dernière, et l’Irakien
a pu enfin exprimer son potentiel. Un changement d’air salvateur,
inspiré par les trajectoires de Pogba ou Sancho, eux aussi partis à
l’étranger pour exister.
Au-delà de son propre cas,
Iqbal met en lumière un système parfois injuste, où l’image compte
plus que le mérite. Son témoignage, franc et poignant, pose une
question essentielle : combien de Zidane ignorés dorment encore sur
les bancs des grands clubs ?
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