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Malgré un match retour compliqué à
Birmingham, Luis Enrique affirme avec aplomb que le PSG possède « le
meilleur effectif au monde ».
L’euphorie d’une
qualification peut parfois faire perdre le sens de la mesure. Mardi
soir, au terme d’un quart de finale retour haletant à Villa Park,
le Paris Saint-Germain a validé son billet pour les demi-finales de
la Ligue des Champions malgré une défaite 3-2 face à Aston
Villa. Grâce à leur victoire 3-1 au Parc des Princes, les Parisiens
s’en sortent avec un score cumulé de 5-4. Mais le scénario a failli
tourner à la catastrophe,
tant les hommes de Luis Enrique ont été bousculés en seconde
période.
Luis Enrique ose une
déclaration lunaire après la galère de Villa Park
Et pourtant, au coup
de sifflet final,
l’entraîneur espagnol n’a pas retenu ses mots. « Je
pense avoir le meilleur effectif du monde, pas seulement le
meilleur gardien », a-t-il lancé. Une déclaration pour le
moins audacieuse après une prestation en demi-teinte où le PSG a
concédé trois buts et frôlé la sortie. L’ancien sélectionneur de
l’Espagne a tout de même salué l’importance de Gianluigi Donnarumma
dans ce succès : « Quand on est dans un club comme le PSG,
on a beaucoup de joueurs de qualité », a-t-il
tempéré.
Ce discours
triomphant pourrait bien surprendre, voire agacer. Car si Paris
avance, il l’a fait dans la douleur. A plusieurs reprises, l’équipe
a semblé proche de la rupture. Manque de rigueur défensive,
relâchement coupable après l’ouverture du score, erreurs techniques
: les motifs d’inquiétude ne manquent pas. « Nous devons
encore améliorer beaucoup de choses », a concédé Enrique,
sans pour autant renier l’enthousiasme affiché.
Un vestiaire du PSG lucide,
mais ambitieux
Côté vestiaire, le
ton était à la confiance retrouvée. Achraf Hakimi a souligné l’élan
collectif : « On veut montrer que le PSG est un grand
club. On veut se battre pour tous les titres possibles. »
Un discours positif, certes, mais qui devra s’accompagner de
rigueur si Paris veut franchir l’obstacle des demi-finales.
À l’aube d’un nouveau
défi européen, l’entraîneur parisien prend le pari de galvaniser
ses troupes. Reste à savoir si ces mots résisteront à l’épreuve du
terrain.
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