Libre depuis la fin de son contrat avec le Paris Saint-Germain, Sergio Ramos ne parvient pas à trouver un nouveau club. Cette fois, c’est Besiktas qui l’a recalé.
Tandis que la plupart des footballeurs en fin de carrière décident ces derniers temps d’aller remplir leur compte en banque du côté de l’Arabie saoudite ou dans un autre championnat du Golfe, certains privilégient encore l’Europe ou des championnats un peu plus relevés. C’est le cas de Sergio Ramos qui a toutefois les plus grandes difficultés à se trouver un nouveau point de chute, près de deux mois après la fin de son contrat avec le Paris Saint-Germain. Gourmand financièrement, il vient de voir un troisième club lui fermer la porte au nez.
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Il y a quelques semaines, son intérêt pour le Séville FC avait été évoqué, mais le retour du défenseur au sein du club qui l’avait révélé a rapidement été écarté par la direction. Puis ce fut au tour du club mexicain d’America d’être lié à l’Espagnol. Mais là encore, la piste n’a rien donné. Le salaire demandé par Sergio Ramos était trop élevé. Ces derniers jours, l’option Besiktas semblait prendre forme et des négociations étaient même menées entre les deux parties. Pour un même échec et une raison identique : trop cher.
Désaccords financiers
Le club turc l’a d’ailleurs publiquement confirmé sous la forme d’un communiqué. « Sergio Ramos (a) été contacté et les négociations menées dans le meilleur intérêt de notre club, ont été interrompues en raison de désaccords sur des questions financières. » À trente-sept ans, l’ancien du Real Madrid est donc toujours libre comme l’air. Cèdera-t-il finalement à la tentation des pétrodollars saoudiens ou se montrera-t-il moins gourmand au niveau de ses prétentions salariales pour rester en Europe où dans ses environs ?
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