L’ancien président de la Confédération asiatique de football est recherché par la justice française dans le cadre du Qatargate.
Soupçonné de « faits de corruption privée en lien avec l’attribution de la Coupe du monde de football 2022 », Mohamed Bin Hammam est activement recherché par la justice française.
Le juge Serge Tournaire a lancé un mandat d’arrêt, le 22 juin dernier, révèle L’Equipe, contre ce Qatarien de 74 ans qui a ignoré plusieurs convocations devant le magistrat.
Bin Hammam aurait eu un rôle capital dans l’attribution de la Coupe du monde 2022, votée par la Fifa en décembre 2010.
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Quelques petites semaines auparavant, il aurait convaincu le Polynésien Reynald Temarri, contre la prise en charge des frais d’avocat (305 000 euros) de faire appel d’une suspension infligée par la Fifa pour infraction au code d’éthique.
Par cet appel, le président de la Confédération du football d’Océanie de l’époque faisait annuler la participation au vote d’attribution de la Coupe du monde 2022. Le règlement l’empêchait de se faire remplacer par un autre membre de son association.
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— Foot 365 (@foot365) September 27, 2023
Reynald Temarri, membre du comité exécutif de la Fifa, avait fait volte-face à la veille du vote après avoir toujours soutenu la candidature de l’Australie ou des Etats-Unis…
Les voix manquantes de la Confédération d’Océanie aveint suffi pour faire gagner le Qatar.
