Après la polémique de ses propos en Coupe
de France, Téji Savanier réagit à nouveau. Une déclaration qui fait
encore parler.
Téji Savanier fait à nouveau parler de lui
après la débâcle de Montpellier contre Le Puy (0-4) en Coupe de
France. Alors que ses premières déclarations avaient enflammé
les réseaux sociaux, le capitaine montpelliérain a réagi une
nouvelle fois, et ses propos continuent de diviser. Si sa nouvelle
intervention vise à apaiser les tensions, la situation reste
délicate pour le MHSC, englué dans une saison compliquée.
Une soirée catastrophique et des mots mal choisis
Le samedi noir de Montpellier a marqué les esprits. Une
élimination humiliante contre une équipe de National 2 et une
vidéo, devenue virale, dans laquelle Savanier ironisait sur la
position de lanterne rouge du MHSC en Ligue 1 : « Dernier de
Ligue 1, ça fait mal. 210 000 euros par mois, non. » Ces
propos, perçus comme une insulte par les supporters, ont provoqué
un tollé.
Face à la polémique, le club et le joueur ont réagi.
Dans un communiqué officiel, Savanier s’est excusé : « Je
traverse, comme l’équipe, une période compliquée, mais cela ne
justifie pas mes paroles. Elles ne reflètent pas les valeurs du
club ni celles du capitaine. » Des mots qui visent à regagner
la confiance des fans et à apaiser les tensions, alors que
Montpellier lutte pour sa survie en Ligue 1.
Savanier, un leader en difficulté
Avec seulement une victoire en 13 matchs de championnat,
Montpellier est dernier avec 9 points, à 4 longueurs du barragiste,
Saint-Étienne. Savanier, pièce maîtresse de l’effectif, peine à
porter l’équipe sur ses épaules. Suspendu à plusieurs reprises
cette saison, il n’a marqué qu’un but, lors de la première
journée.
Pourtant, le capitaine reste combatif : « Je suis pleinement
engagé pour défendre ce maillot et continuer à me battre avec mes
coéquipiers pour redresser la situation. » Un message porteur
d’espoir pour une équipe à la dérive.
Alors que le MHSC tente de sauver sa saison, la controverse
Savanier illustre les tensions qui rongent le club. Reste à voir si
les actes suivront les paroles.
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