L’entraîneur français de Naples a réglé quelques comptes devant la presse. Rudi Garcia a par ailleurs affirmé avoir le soutien de sa direction.
On le dit sur un siège éjectable, sous pression. Rudi Garcia s’est en tout cas montré combatif et déterminé devant les médias, avant Hellas-Verone-Naples, match comptant pour la 9e journée du Championnat d’Italie.
« Je suis calme et serein. Dire que je n’ai pas apprécié la période post Napoli-Fiorentina est un euphémisme, c’était un manque de respect envers moi », a déclaré l’entraîneur français des champions d’Italie, vendredi en conférence de presse, cité par Tuttomercatoweb.
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« Là, j’ai compris qui étaient mes amis et qui étaient mes ennemis », a poursuivi Rudi Garcia. Le 8 octobre, les Napolitains s’étaient inclinés à domicile devant la Viola (1-3, 8e journée de Serie A).
« J’ai trouvé l’après-match très exagéré, j’ai trouvé tout très disproportionné », a commenté encore Rudi Garcia au sujet des critiques émises après cette défaite subie juste avant la trêve internationale.
Un échec du Napoli samedi sur le terrain d’Hellas Vérone fragiliserait un peu plus Rudi Garcia. Coup d’envoi à 15 heures.
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