L’ex patron de la fédération espagnole de football affirme que Jenni Hermoso n’est pas la seule personne qui l’a embrassé après le sacre au Mondial.
Luis Rubiales, l’ancien président de la RFEF, continue de s’enfoncer. Même s’il a démissionné de son poste en prétextant ne plus vouloir mettre le football de son pays dans l’embarras, il continue d’affirmer que son baiser sur la bouche à Jenni Hermoso était consenti et qu’il n’a pas à le regretter.
Rubiales est incorrigible
L’homme le plus détesté de la Péninsule n’a donc aucun remord. Pire, chaque jour il se rend auteur d’une nouvelle déclaration encore plus lunaire que la précédente. Dans un entretien accordé à El Pais, il vient de déclarer que des baisers sur la bouche, il en a également fait aux hommes et qu’il serait prêt à le refaire.
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« Aurais-je eu le même geste en cas de victoire de l’équipe masculine ? N’ayez aucun doute, à cent pour cent oui, a-t-il tonné. En fait, il y a eu un baiser sur la bouche avec l’entraîneur Jorge Vilda qui n’est pas sorti ou a été très peu vu. Quand j’étais joueur, il y a eu de nombreux moments, que ce soit lors d’un maintien décroché, d’une montée ou d’une victoire, durant lesquels il y avait toutes sortes de bisous ». Des propos choquants et qui risquent de faire couler encore beaucoup d’encre de l’autre côté des Pyrénées.
Rubiales persiste et signe concernant son dérapage. En revanche, il a quand même un regret. Mais il est lié à une autre scène. Il s’est excusé de ses actes au coup de sifflet final de la rencontre. Alors qu’il était à côté de la reine Laetizia et de sa fille de 16 ans, il a été photographié en train de saisir son entrejambe. « Pour cela, je n’ai aucune excuse. Ce n’est pas le comportement que je dois adopter », a-t-il indiqué.
A noter que Rubiales a été convoqué cette smeaine par un juge de la Haute Cour pour répondre à des accusations d’agression sexuelle et de coercition.
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