SPORT

Révélations choquantes sur la mère des frères Hernandez, « une déséquilibrée »

Le magazine France Football a effectué une enquête sur la famille Hernandez et les témoignages à charge contre la mère des deux internationaux sont accablants.

Dans la famille, on pensait que le mauvais rôle de l’histoire était tenu par Jean-François, le papa. Il s’avère finalement que le portrait dressé de l’ancien footballeur était surtout noirci par la mère des deux internationaux français, Laurence Py. France Football a effectué une investigation et a reçu de multiples témoignages qui dédouanent le père et accablent la mère.

Les frères Hernandez séparés de leur père !

Jean-François Hernandez n’aurait jamais abandonné ses deux enfants, Théo et Lucas. C’est juste qu’il s’est retiré, de peur que la situation n’empire. Et pour éviter aux gosses de subir la colère de leur mère. Une mère qui les aurait maltraités et qui ne se serait pas occupé d’eux comme il se doit malgré l’argent qu’elle soutirait régulièrement à son ancien époux.

Parmi les récits les plus poignants dans cette enquête il y a celui tenu par Colette Ribès, la sœur de Jean-François. « Elle lui demandait de l’argent pour les voir. A chaque fois que mon frère les récupérait, ils avaient de vieux vêtements. Le frère qui squattait n’était même pas capable d’acheter de la nourriture pour ses neveux », a-t-elle raconté notamment. « Ce n’est pas juste que Jeff vive toute sa vie avec cette tristesse. Il a déposé les armes trop tôt. Mais il faut chercher à comprendre pourquoi il a abandonné comme cela. C’est à cause de cette femme. Au-delà d’être la pire personne que j’ai rencontré dans ma vie, c’est une déséquilibrée ».

Le père Hernandez défendu par ceux qui l’ont connu

La sœur de Jean-François n’est pas la seule à tenir ce discours accusateur envers la mère. C’est aussi le cas de Sonia Moldes, l’autre ex compagne de l’ancien footballeur. « Il devait se battre tout le temps. Quand Jeff devait prendre les enfants, on se présentait chez elle. Elle n’ouvrait pas. Elle disait par message « Je suis en France ». On allait en France, elle n’était pas là. On nous disait « Elle est en Espagne ». On faisait des dénonciations aux autorités en permanence. Elle empêchait tout contact. Quand on arrivait à les avoir, on passait des week-ends incroyables. Les enfants ne voulaient pas retourner chez leur mère tellement ils s’amusaient. On les récupérait le vendredi tout heureux de retrouver leur père. Ils passaient un super week-end. Et dimanche, quand on les ramenait, ils ne parlaient pas. Ils étaient super tristes. Ca faisait mal à Jeff de les voir comme ça ».




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