A l’image d’un Bradley Bracola moins performant qu’en tout début de saison, le PSG accuserait-il un peu le coup ? Au lendemain d’un nul ramené samedi soir de Reims avec beaucoup de réussite (1-1), les observateurs et suiveurs réguliers du club parisien semblent s’inquiéter. Le niveau de jeu affiché en Champagne s’inscrit dans la performance réalisée quatre jours plus tôt devant les Espagnols de Gérone en Ligue des champions (1-0, but de Dembélé à la 90e minute…).
Face aux médias, à l’issue de ce Reims-PSG, l’entraîneur Luis Enrique estimait que son équipe avait donné le maximum, soulignant la tactique défensive de l’adversaire rémois. L’Equipe ne l’a pas épargné en écrivant que Désiré Doué dans le rôle d’un faux 9 n’était pas une bonne idée jaillie du cerveau du technicien espagnol.
Le test face à Arsenal
L’ancien espoir du Stade Rennais est sorti du terrain blessé, touché à une cheville. Autre élément susceptible de distiller le doute sur les capacités du PSG post Kylian Mbappé. Le club parisien doit faire face à quelques soucis d’infirmerie. A Reims, Luis Enrique était privé du gardien de but Gianluigi Donnarumma et de l’attaquant Marco Asensio, tous deux blessés. L’Italien et l’Espagnol avaient rejoint Lucas Hernandez, Presnel Kimpembé et Gonçalo Ramos, en soins.
Le latéral droit Achraf Hakimi, laissé au repos, manquait aussi à l’appel du stade Auguste-Delaune. Toutes ces absences peuvent aussi expliquer, en partie, les deux dernières rencontres parisiennes qualifiées de peu convaincantes. Face au Stade Rennais, vendredi 27 septembre à domicile, et à Londres, le 1er octobre pour y défier Arsenal en Ligue des champions, on en saura plus sur ce léger passage à vide des champions de France. Si leur collectif peine à peser sur l’adversaire, le ciel automnal pourrait être orageux au-dessus de la Factory de Boulogne-Billancourt.
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