Le tout sachant que la Fifa réclame un chèque de 15 millions d’euros pour les droits des rencontres. « Pour nous ce qui est important, c’est évidemment le prix que l’on va mettre et à quelle heure est l’événement ? Selon l’horaire ça nous intéresse ou pas, ce n’est pas spécialement l’événement », a notamment indiqué Jérôme Saporito, le directeur du pôle TV à L’Equipe.
Le président de la FIFA Gianni Infantino ne recule pas pour autant. « Pour être très clair, il est de notre obligation morale et légale de ne pas sous-vendre la Coupe du monde féminine », a prévenu le président de la FIFA à l’occasion d’une réunion de l’Organisation mondiale du commerce, parlant d’« une gifle » pour « toutes les femmes du monde entier ».
La Fifa ne bouge pas
« Par conséquent, si les offres continuent à ne pas être équitables, nous serons contraints de ne pas diffuser la Coupe du monde féminine dans les pays européens du Big 5. Peut-être que ce ne sera pas diffusé aux heures de grande écoute en Europe, mais quand même, ce sera à 9 ou 10 heures, soit une heure tout à fait raisonnable« , a-t-il ajouté.
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