[ad_1]
Malgré les rumeurs, un retour de Messi au
Barça relève du mirage. Décryptage des obstacles insurmontables qui
bloquent ce rêve.
Quatre ans après des adieux en larmes, Lionel Messi est à
nouveau associé au FC Barcelone. Selon El Nacional,
l’Argentin pourrait y revenir en prêt lors de la trêve hivernale de
la MLS (décembre 2025-février 2026). Une idée romantique… mais
totalement irréaliste. Voici pourquoi.
Le Barça, toujours asphyxié financièrement
En 2021, Messi quittait le Barça malgré lui, victime du salary
cap de la Liga. Aujourd’hui, rien n’a changé.
L’enregistrement des contrats de Dani Olmo et Pau Victor a traîné
pendant plusieurs mois, preuve que le club catalan reste sous
perfusion. « Même en prêtant Messi, son salaire (40 à 50M€/an)
serait ingérable »,
explique un expert comptable proche de la Liga. La loi
espagnole interdit une réduction de salaire de plus de 50%, et même
cela ne suffirait pas.
Messi
ne reviendra pas au Barça.
Jorge Mas (Inter Miami) ferme la porte pour Messi
Le propriétaire de l’Inter Miami l’a martelé en 2023 : « Un
prêt au Barça ? Hors de question. » Si Mas admet qu’un « adieu
digne » au Camp Nou est possible (via un match amical), il refuse
toute aventure compétitive. Objectif : protéger son investissement.
Messi, 37 ans en 2025, doit rester frais pour la MLS et le Mondial
2026.
Le calendrier infernal de Messi
Entre la MLS (février-novembre 2025), la Coupe du Monde des
clubs (été 2025) et le Mondial 2026, Messi enchaînerait 24 mois de
compétition sans pause. « C’est un risque insensé pour son
physique », alerte un préparateur physique. Le Barça
voudrait-il d’un Messi épuisé… pour deux mois ?
L’adieu émotionnel… mais en amical
Reste l’espoir d’un dernier hommage au Camp Nou rénové. Mas
serait prêt à libérer Messi pour un match testimonial, mais pas
plus. « Il mérite ça, mais pas au détriment de notre saison
», insiste-t-il. Une cérémonie, oui. Un prêt, non.
Messi reviendra au Barça… en statue, pas en joueur. Entre
finances, logique sportive et réalité physique, le rêve se heurte à
un mur. Et si la meilleure façon d’aimer Messi était de le laisser
où il est : dans le cœur des Culés, pas sur le terrain.
Source link
