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Il devait être l’une des têtes
d’affiche du nouveau format de la Coupe du monde des clubs.
Cristiano Ronaldo, pourtant encore sous contrat avec Al-Nassr,
était espéré par plusieurs clubs qualifiés pour renforcer leur
image et leur attaque. Mais à quelques jours du coup d’envoi,
la légende portugaise a mis fin aux rumeurs : il ne participera pas
au tournoi. Une décision qui étonne autant qu’elle intrigue,
tant les opportunités semblaient nombreuses pour le quintuple
Ballon d’Or.
Ronaldo a décliné toutes les
pistes
Parmi les pistes sérieuses,
Al-Hilal se détache. Le club saoudien, engagé dans la compétition,
avait activé plusieurs dossiers pour renforcer son effectif, dont
celui de Ronaldo. Mais selon son président Fahad Bin Nafel,
le mercato express avant le Mondial a viré à l’impasse : «
Nous avons essuyé des contre-offres illogiques et fait face à la
fatigue des joueurs après une longue saison. » En clair,
malgré la volonté de frapper un grand coup avec une star
planétaire, les conditions n’étaient pas réunies.
Cristiano Ronaldo, de son
côté, a confirmé l’existence de nombreux contacts mais a fait le
choix de décliner. « Il faut penser à court, moyen et long
terme », a-t-il glissé en conférence de presse. Derrière cette
phrase, une stratégie claire : préserver son corps et rester
concentré sur sa fin de contrat avec Al-Nassr, qui espère le
prolonger. Le Mondial des clubs était une belle vitrine, mais pas
une priorité pour un joueur qui vise une dernière Coupe du monde
avec le Portugal en 2026.
Un choix stratégique en vue
de 2026 ?
Plusieurs clubs étrangers (du
Maroc, du Brésil ou encore du Mexique) ont tenté de le séduire.
Certains y ont vu une opération marketing, d’autres un réel besoin
sportif. Aucun n’a trouvé la formule magique. Trop cher, trop
court, trop tard. Même la FIFA y croyait, par la voix de Gianni
Infantino,
qui déclarait récemment qu’un accord restait envisageable. Mais
cette hypothèse s’est rapidement évaporée, CR7 préférant laisser
passer cette édition fondatrice.
Son absence laisse un vide
médiatique dans une compétition qui mise sur les grandes icônes
pour séduire le public mondial. À 40 ans,
Ronaldo reste une figure centrale du football planétaire, mais
choisit ses batailles. Et ce Mondial des clubs, malgré son ambition
et ses promesses, n’en fera pas partie. Le rendez-vous est manqué.
Volontairement.
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