L’ancien directeur sportif du FC Nantes, Pascal Praud, fait encore l’actualité pour de mauvaises raisons.
Le temps où Pascal Praud était un intervenant respecté et sympathique de Téléfoot est bien lointain. Aujourd’hui, celui qui fut aussi le bras droit de Waldemar Kita au FC Nantes, a plutôt le chic de s’attirer les ennuis et les critiques de toutes parts. C’est ce qu’il a notamment fait lors de l’une de ses dernières participations à un JT.
Praud met tous les Palestiniens dans le même sac
Praud était présent sur le plateau de CNews pour un bulletin Sport, en compagnie notamment de Thomas Doucet et d’autres chroniqueurs. Pensant alors être hors antenne, il a lancé à l’un d’entre eux : « Si tu pouvais arrêter de défendre les palestiniens hors antenne ça serait bien ».
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Son interlocuteur lui a alors rétorqué qu’il ne faisait pas, qu’il essayait juste d’expliquer. Une position confirmée par les autres présentes. Praud n’est pas revenu sur ses propos pour autant. Bien au contraire. Il a cédé alors à un vrai dérapage avec une déclaration discriminatoire et un amalgame très dangereux : « Les Palestiniens veulent tuer l’Israël, et c’est la vérité ».
crédit photo :Panoramic
Praud au côté de Kita lors de son passage par le FC Nantes au milieu des années 2000. Un mauvais souvenir pour les supporters des Canaris.Après avoir exprimé son opinion extrémiste, Praud a quitté le plateau fâché. Sans savoir bien sûr que tout ce qu’il a pu dire sur le coup était filmé. Le journaliste avec qui il s’est pris le bec avait beau lui dire que sa position était « aberrante », il n’a rien voulu entendre.
« Si tu pouvais arrêter de défendre les palestiniens à l’antenne ça serait bien »
Pascal Praud hors antenne.
Voilà la réalité de ces plateaux télé truqués et militants.
— Taha Bouhafs 🇵🇸 (@T_Bouhafs) November 14, 2023
La scène fait actuellement le tour des réseaux sociaux et le présentateur de CNews en prend pour son grade pour son mauvais comportement. Cela ne diffère pas trop des tumultes qu’il avait connus du côté de La Jonelière. Mais, au moins, à l’époque, il n’exprimait pas des idées aussi contestées et condamnables moralement. Vivement le jour où quelqu’un osera le remettre à sa place.
