Le célèbre consultant argentin a fait son mea-culpa après avoir un peu trop animé la conférence de presse de Lionel Messi.
Mercredi matin, lors de l’intronisation de Lionel Messi en tant que nouveau joueur du PSG, Omar Da Fonseca s’est fait remarquer en initiant un chant à la gloire de la Pulga. Placé au fond de la salle, le célèbre consultant de BeIn Sports n’a pas pu dissimuler sa joie à l’idée de voir son idole débarquer dans le championnat français.
Après avoir dans un premier temps indiqué qu’il ne regrettait rien de son petit numéro, l’ex-joueur du PSG a avoué à demi-mot qu’il est peut-être allé trop loin dans sa jubilation. « Si j’ai offensé ou blessé quelqu’un, je suis le premier à m’excuser, à aucun moment j’ai voulu être malveillant », a-t-il déclaré dans un entretien à So Foot.
Da Fonseca blessé par les attaques extérieures
Tout en s’excusant, Da Fonseca a affirmé que son intention était bonne et qu’il a voulu uniquement rendre ce moment historique un peu plus joyeux : « J’insiste sur le fait que c’était la pré-sen-ta-tion, il y a une différence avec une conférence de presse d’après-match. Là, c’est quelqu’un qui vient dans le club. C’est comme un mariage : le mec, il va dire oui. Et le marié, c’est Messi ! (Rires) Désolé, mais c’est une icône. Nous tous qui étions dans la salle, on aime le football, on est passionnés, et on VIT du football. Celui qui vit du football, pour moi, il doit faire vivre le football. Mais j’accepte qu’on puisse vivre des sensations différemment, en étant tiède, fade, ou moins exubérant que je peux l’être ».
Enfin, l’Argentin a indiqué qu’il a été quelque peu blessé par les critiques dont il a été la cible ces dernières heures : « Quand je vois certains qui se sont exprimés sur les réseaux… Tout le monde me connaît, appelle-moi, on en parle ! « Omar, putain, t’as exagéré » et ciao. Regarde les proportions que ça a prises, pour un acte d’une simplicité… Je ne comprends pas que les autres ne comprennent pas. En plus, moi, je suis consultant. J’ai lu : « Dans ces conférences de presse sont désormais invités tout un tas de gens », c’est pas élégant. Qui tu es toi pour considérer que le reste c’est un « tas » de gens ? Pareil, quand on dit « à l’étranger, il vont croire… » qu’est-ce qu’ils en savent ? Ça a duré vingt secondes, stop. Moi, j’étais dans un moment de joie simple, de gaieté. Osons, permettons-nous une sorte de douce violence, un brin d’enthousiasme, d’euphorie ».
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