C’est l’un des termes employés par les autorités françaises pour justifier l’interdiction de déplacement de supporters parisiens à l’occasion d’OM-PSG programmé dimanche à Marseille.
En espérant une évolution positive à l’avenir, on doit encore constater les effets de la violence dans les stades de football. Les supporters du Paris Saint-Germain ne seront pas les bienvenus dimanche lors d’OM-PSG, choc au sommet de la 25e journée de Ligue 1, en raison de leur passif et celui de leurs adversaires.
« Le 26 février 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par tout moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du Paris-Saint-Germain ou se comportant comme tel, est interdit entre les communes de la région d’Ile-de-France, d’une part, et la commune de Marseille (Bouches-du-Rhône), d’autre part », précise l’arrêté du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
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— Foot 365 (@foot365) February 23, 2023
Les autorités parlent de « haine viscérale ancrée entre les supporters des deux équipes », source d’un « risque sérieux d’affrontements graves à l’occasion de cette rencontre. »
Une partie des supporters marseillais et parisiens sont pointés par l’arrêté du ministère de l’intérieur et des outre-mer pour leur propension à causer des « troubles à l’ordre public », nombreux exemples à l’appui.
Les soutiens des deux camps ne se déplacent plus chez le rival depuis une dizaine d’années environ.