Dans une interview au Corriere dello
Sport, José Mourinho a confié un rêve encore inassouvi, une
ambition qui pourrait marquer la fin de sa carrière.
José Mourinho, figure légendaire des bancs de touche, a accordé
une interview exclusive au Corriere dello Sport pour clore l’année
2024. L’entraîneur portugais, connu pour son franc-parler et ses
analyses tranchantes, a abordé plusieurs sujets : ses matchs
mémorables, ses regrets marquants et sa vision du football moderne.
Mais ce qui a retenu l’attention, c’est une révélation
particulière. The Special One a levé le voile sur un rêve ultime,
une ambition qui le pousse à continuer d’écrire sa légende.
Mourinho dévoile enfin son rêve ultime
Après des années de succès en club, Mourinho aspire à franchir
un nouveau cap : diriger une équipe nationale. « Je veux
participer à un Euro ou une Coupe du Monde, unir un pays autour de
sa sélection, comme j’ai pu le faire avec des clubs et leurs
supporters », confie-t-il. Pour Mourinho, ce défi
représenterait l’apothéose de sa carrière, incarnant sa capacité à
fédérer au-delà des couleurs de club.
Ses matchs marquants et ses regrets
L’interview a également permis à Mourinho de revenir sur ses
victoires marquantes : Porto-Lazio (4-1) en demi-finale de la Coupe
de l’UEFA 2003, l’Inter-Bayern (2-0) en finale de Ligue des
champions 2010, ou encore Manchester-Tottenham (1-6). Ces
rencontres symbolisent, selon lui, la maîtrise tactique et mentale
de ses équipes.
Il a également évoqué ses regrets. Parmi eux,
son refus de revenir au Real Madrid malgré l’insistance de
Florentino Perez et sa décision de rester à la Roma après la
finale perdue à Budapest en Europa League. « J’aurais dû partir
immédiatement après cette finale, mais je ne l’ai pas fait. C’était
une erreur », avoue-t-il.
Une ambition, mais pas sans principes
Mourinho reste fidèle à ses valeurs. Il évoque l’importance de
qualités fondamentales pour un entraîneur : « La grandeur d’un
coach réside dans les résultats, pas dans la philosophie. Elle se
trouve dans l’humanité, pas dans l’égocentrisme. » Il insiste
aussi sur l’honnêteté : « Un entraîneur doit pouvoir dormir la
nuit, en sachant qu’il a toujours été intellectuellement
indépendant. » Ces principes, estime-t-il, sont essentiels
pour réussir, même au niveau international.
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