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« Marcelino, aussi bon que Guardiola », la déclaration qui interpelle

Marcelino, le futur coach de l’OM, a été complimenté par l’un des anciens protégés français qu’il a eu sous ses ordres.

Ils ne sont pas beaucoup parmi les footballeurs français à avoir été dirigés par Marcelino, l’entraineur espagnol qui devrait débarquer à la tête de l’OM prochainement. Stéphane Pignol en fait partie. Cet ex-joueur, qui a fait toute sa carrière en Espagne, a connu ce technicien lors de son passage à Saragosse (2008-2009). Il en dit le plus grand bien.

« Avec Marcelino, ça sera une intensité maximale »

Dans un entretien donné à La Provence, ce frère de Christophe Pignol (champion de France avec Monaco et Nantes), estime même que Marcelino n’a pas grand-chose à envier à son compatriote Pep Guardiola. « Il fallait être à 200% à chaque séance d’entrainement avec lui, physiquement et mentalement… C’était un bosseur, un entraineur intelligent, un peu comme Guardiola. Pour moi, il fait partie de la même classe. Quand j’ai vu qu’il pouvait venir à Marseille, je me suis dit qu’il pouvait faire de grandes choses à l’OM ».

Lire aussi – L’OM tient enfin son nouveau coach

Et quelles sont ses préférences tactiques ? A quoi les joueurs de l’OM doivent-ils s’attendre avec lui ? Pignol éclaire sur ce sujet : « Il mise beaucoup sur les ailiers, parfois avec un avant-centre, souvent avec deux. C’est un fou de tactique, c’est incroyable, il travaille super bien sur ça. C’est bien pour l’OM et ses supporters. Ils veulent des joueurs, qui donnent tout, mettent le pied, gagnent, aient une intensité maximale, et avec Marcelino ils vont voir ça ».

Cette semaine, Ludovic Obraniak a laissé entendre que l’arrivée de Marcelino pourrait être une bonne nouvelle pour Dimitri Payet. Pignol ne dit pas le contraire, mais il estime que le Réunionnais devrait faire très attention à son poids. « Lors de la pré-saison, un joueur est arrivé avec un surpoids, il l’a mis au régime, il pesait ses repas et lui disait : « Toi, tu ne manges que ça pendant quinze jours ». Le pauvre, était cuit aux entrainements. Marcelino était très strict sur ce plan, mais c’était dans le sillage d’Ismael Fernandez, son préparateur physique, qui était très à cheval sur ça ».


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