Le feuilleton de la vente de l’Olympique de Marseille alimente encore les débats dans l’environnement du club.
Plongé dans une période d’instabilité depuis plusieurs semaines, l’Olympique de Marseille est à un nouveau tournant de son histoire. Le président Pablo Longoria a fait le choix de poursuivre sa mission malgré l’hostilité manifestée à son égard par certains groupes de supporters. L’entraîneur Marcelino, que Longoria avait initialement choisi pour cet exercice 2023-24, a fait ses valises pour laisser son poste à Gennaro Gattuso, après le court intérim de Jacques Abardonado. Dans ce contexte, Frank McCourt n’aurait pas caché son inquiétude en coulisses.
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Quand le navire OM tangue, le feuilleton d’une vente du club revient sur la table. L’Olympique de Marseille serait toujours dans le viseur de l’Arabie saoudite. France Bleu Provence indiquait récemment que des négociations avancées avec Zinédine Zidane avaient déjà eu lieu pour envisager une potentielle arrivée sur le banc de l’idole en cas de rachat du club par le pays du Golfe. L’icône du football français débarquerait avec une enveloppe de 300 millions d’euros pour faire basculer le club dans une autre dimension.
Vente OM : les 2 points qui bloquent les Saoudiens
Ce scénario s’apparente à un fantasme chez certains supporters. Du rêve à la réalité, il n’y a qu’un pas. Un pas que seul Frank McCourt est habilité à faire. Sur son compte Twitter cette semaine, Yacine Ferguson a fait le point sur le dossier. Le créateur de Talk Foot précise les deux raisons qui refroidiraient le Fonds d’investissement Public saoudien en l’état actuel des choses.
La première serait économique, McCourt se montrant trop gourmand sur le plan financier par rapport aux nombreux investissements personnels réalisés depuis son rachat du club. La seconde serait aussi liée à l’homme d’affaire américain, qui souhaiterait rester actionnaire avec un pourcentage non négligeable dans le capital du club phocéen. Une volonté qui ne colle pas à celle des Saoudiens.
En attendant un possible rapprochement des positions, Frank McCourt ne change pas sa ligne directrice en termes de communication : officiellement, l’OM n’est pas à vendre.
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