Le choc entre le Racing Club de Lens et l’Olympique de Marseille continue à alimenter les débats…
Samedi, le Racing Club de Lens a signé un succès retentissant contre son premier concurrent, l’Olympique de Marseille (2-1). Une victoire qui a permis aux Sang et Or de dépasser leur adversaire du soir au classement, dans l’optique de décrocher la deuxième place directement qualificative pour la Ligue des Champions.
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Disputé sur un rythme soutenu, ce choc a aussi été marqué par une décision arbitrale litigieuse, avec un but refusé à Alexis Sanchez, Clément Turpin revenant sur sa décision après consultation de la VAR suite à une supposée faute du Chilien sur Kevin Danso.
« Bien-sûr qu’il y a faute ! »
Appelé à revenir sur cette action, ce dernier n’y est pas allé par quatre chemins. « Oui bien sûr, il y a faute, a-t-il lâché en conférence de presse. L’arbitre avait décidé en première instance que non. Mais tout le monde a vu la situation grâce à la VAR. C’était clair pour moi et pour tout le monde. Il y a encore des discussions mais pour moi, oui, c’est faute, ça s’arrête là. S’il n’y avait pas faute sur ce pressing, je jouais en retrait avec Brice (Samba)« .
Un point de vue que son adversaire ne partage pas. L’OM a même publié un communiqué officiel pour exprimer son mécontentement concernant le traitement des arbitres à l’égard du club.
« L’Olympique de Marseille souhaite toujours garder une approche très constructive vis-à-vis des instances et de l’ensemble des acteurs du football français. Néanmoins, l’Olympique de Marseille se voit dorénavant obligé de réagir tant le club fait face à un nombre important de décisions litigieuses ayant d’ores-et-déjà un impact majeur sur le déroulé de sa saison. D’une part, l’OM regrette le traitement inéquitable lié à un manque d’uniformité dans l’application des règles d’utilisation du VAR. Alors que la décision de laisser jouer Alexis Sanchez à la suite d’un contact avec un défenseur lensois (J34 ; RCL-OM ; 2-1) est considérée comme une erreur manifeste par le VAR, la semelle nette du défenseur monégasque non-sifflée sur Sead Kolasinac dans la surface de réparation (J20 ; OM-ASM ; 1-1) ne l’a pas été…« , pouvait-on lire dans ce communiqué.
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