Le quotidien L’Équipe s’est penché cette semaine sur les salaires des arbitres du championnat de France.
L’époque où les rémunérations des arbitres se rapprocheront de celles des autres acteurs du football (joueurs, entraîneurs) n’est pas encore arrivée. Loin de là. Dans une étude publiée cette semaine, L’Equipe se penche en effet sur les salaires des hommes en noir qui officient en Ligue 1. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces chiffres peuvent étonner le grand public.
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Des conditions beaucoup plus modestes pour les arbitres
Le budget alloué aux arbitres est 17 millions d’euros (25 millions avec la partie VAR et la goal-line technology). Dans le détail, L’Équipe précise ainsi que le versement des revenus se fait en deux parties : une part fixe mensuelle (6.497 euros bruts pour les arbitres fédéraux, 4.188 euros pour les assistants «Elite» et 2.291 euros pour les assistants «non-Elite) et une prime de match selon le niveau de l’arbitre en question – soit 3.029 euros brut pour un arbitre central, 1.478 euros pour un arbitre assistant et 1.000 euros pour un assistant vidéo.
Les rémunérations des arbitres du championnat de France sont donc loin d’être comparables à celles des joueurs qu’ils côtoient. De quoi prêter à l’indulgence pour relativiser les polémiques suite à quelques décisions contestables…
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