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Le Sommer règle ses comptes avec Diacre !

L’attaquante tricolore, Eugénie Le Sommer, a envoyé de violentes piques à son ancienne sélectionneuse, Corinne Diacre.

En mars dernier, et après une longue absence, Eugénie Le Sommer a retrouvé les Bleues. La meilleure buteuse tricolore actuelle a revêtu ce maillot tricolore qu’il chérit tant. Aujourd’hui elle en profite, surtout qu’elle s’apprête à disputer une nouvelle Coupe du Monde, mais cela ne l’empêche pas de ressasser le passé et regretter la longue période sans la sélection.

« Le jour et la nuit entre Diacre et Renard »

Dans un entretien au Figaro, juste avant l’entame du tournoi planétaire, l’attaquante de l’OL a indiqué n’avoir toujours pas compris pourquoi elle avait été écartée de la sélection. « Non, je ne comprends pas et je trouve ça dommage. Mais, c’est comme ça. Nous sommes toutes différentes, avec des personnalités différentes, en voyant les choses différemment. Ce n’était pas ma perception des choses, mais je ne pouvais rien n’y faire. C’est très difficile de faire changer certaines personnes », a-t-elle confié.

Lire aussi – Battu avec les Bleues, Renard promet de remettre sa chemise

Le Sommer a poursuivi en clamant que l’équipe de France féminine revit aujourd’hui sous la direction Hervé Renard, un coach aux méthodes bien différentes de celle de Corinne Diacre. « Oui, c’est un changement radical. Le jour et la nuit, a-t-elle tonné. Je ne peux pas parler des moments où je n’étais plus convoquée, mais là, en arrivant j’ai revu des sourires que je n’avais plus vus en sélection depuis très longtemps (…) Tout le monde était hyper-enthousiaste, content d’être là, de ce renouveau et de cette nouvelle page qui commençait à s’écrire ».

Pour conclure, Le Sommer s’est dite confiante quant à la capacité des Bleues de briser le plafond de verre des quarts en Coupe du Monde. « Le talent, nous l’avons à tous les postes. Maintenant, il faut savoir l’exprimer. Ce sera une première chose. Ensuite, il y a la tactique qui sera importante. Et enfin l’aspect psychologique. Il faut une force collective dans l’équipe pour aller loin. Il faut toujours croire en soi, comme l’a fait l’Argentine chez les garçons lors de la dernière Coupe du Monde ».


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