Le rapport de la Préfète des Bouches-du-Rhône pointe la responsabilité du PAOK Salonique dans les violences d’avant-match.
Des policiers tentant de contenir des supporters grecs dans leur hôtel marseillais. La scène a illustré les violences observées jeudi dans la cité provençale, quelques heures avant OM-PAOK Salonique, quart de finale aller de la Ligue Europa Conférence.
Une situation dénoncée fermement par les autorités de l’état. La Préfecture des Bouches-du-Rhône évoque ce vendredi, dans un communiqué, des « centaines de supporters violents venus de Grèce sans l’encadrement promis par le club… »
❌#OMPAOK | Réaction de la préfète de police des Bouches-du-Rhône⬇️ pic.twitter.com/q3Gi17HGNY
— Préfète de police des Bouches-du-Rhône (@prefpolice13) April 8, 2022
La préfète insiste sur les dirigeants du PAOK : « Force est de reconnaître qu’en l’espèce, 3 semaines de dialogue et d’engagements écrits du club adverse n’ont pas suffi à empêcher des actes violents et gratuits… »
La Préfecture, rapporte France Info, a aussi indiqué l’interpellation de dix personnes : un Grec pour tentative d’introduction de fumigène et neuf Marseillais. Trois pour violences à personne dépositaire de l’autorité publique, quatre pour tentative d’introduction de fumigènes et deux pour jets de projectiles.
Jets de morceaux de siège et de fumigènes dans le public, il va falloir arrêter ça #OMPAOK #rmclive pic.twitter.com/GaofJcDoix
— Florent Germain (@flogermain) April 7, 2022