L’affaire Nice-OM continue de faire des vagues et Jean-Michel Aulas a été pris dans l’une d’elles ce jeudi. Le président de l’OL s’est défendu.
Au lendemain des sanctions prononcées par la Ligue de football professionnel concernant les dérapages survenus le 22 août dernier à l’occasion d’un Nice-OM calamiteux, les réactions ont afflué de toutes parts, et notamment du côté de la mairie de Marseille. Adjoint au maire, Sébastien Jibrayel s’est fendu d’une sortie pour le moins étonnante, dans laquelle il lie les décisions prises sur ce match, et celles qui ont pu être prises par le passé à l’encontre de l’Olympique Lyonnais de Jean-Michel Aulas.
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Sur les réseaux sociaux, Monsieur Jibrayel a ainsi écrit : « Je prends acte de la décision prise par la LFP, même si je m’attendais à mieux pour l’OM. Nos joueurs sont blessés, le terrain est envahi, les conditions sécuritaires ne sont pas réunies… Et malgré cela, on doit rejouer le match. Ah j’oubliais, nous ne sommes pas l’OL ! » Une attaque gratuite à laquelle le président lyonnais n’a pas tardé à répondre.
Rappel au match Bastia-Lyon de 2017
« Merci de ne pas nous utiliser comme contre-feu, cela ne vous honore pas en tant qu’élu de la République. » Une mise au point franche et directe de la part d’un Jean-Michel Aulas qui a toutefois eu droit à son lot de commentaires, avec de nombreux rappels faits par les internautes au fameux Bastia-Lyon de 2017. Avant et pendant la rencontre, des incidents avaient eu lieu, dont la descente des tribunes de Furiani de supporters corses pour agresser les joueurs lyonnais. L’OL avait finalement gagné le match sur tapis vert.
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