A la lutte avec les Pays-Bas pour la cinquième place de l’indice UEFA, la France a vu l’instance désigner un arbitre néerlandais pour le quart de finale retour de Ligue Europa Conférence entre Nice et Bâle.
Si ce n’est probablement pas un acte avec une quelconque arrière-pensée, le choix par l’UEFA de nommer Serdar Gözübüyük pour jouer du sifflet jeudi soir lors de Nice-Bâle, n’était peut-être pas le plus inspiré. Et pour cause, puisque l’OGC Nice est le dernier club français encore en course cette saison dans les différentes coupes d’Europe. Un unique représentant sur lequel reposent plus que jamais les espoirs de la France de s’agripper à la cinquième place du classement de l’indice UEFA. Un rang qu’elle se dispute avec les Pays-Bas, pays de naissance de l’arbitre du match des azuréens.
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Ce dernier ne devra donc pas se manquer dans les décisions qu’il prendre jeudi soir à l’Allianz Riviera, sous peine de déclencher de sérieuses polémiques. Pour autant, Monsieur Gözübüyük a des états de service qui parlent pour lui puisqu’il a notamment déjà arbitré par deux fois des clubs français cette saison, avec à chaque fois une victoire tricolore à la clef (Rennes-Dynamo Kiev en Ligue des champions, 1-0 et Monaco-Étoile Rouge de Belgrade, 4-1).
Un match décisif ?
Pour rappel, la cinquième place qui intéresse la France et les Pays-Bas pour leur indice UEFA, est synonyme de quatre places pour leurs clubs en Ligue des champions, soit une de plus qu’à l’heure actuelle. Le résultat de cette rencontre de Ligue Europa Conférence entre Nice et Bâle, combiné à ceux de l’AZ Alkmaar et du Feyenoord Rotterdam (ce dernier jouant en Ligue Europa), pourrait déjà être décisif.
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