Eden Hazard a été décrit comme « le footballeur le plus paresseux que j’ai jamais vu » par l’un de ses anciens coéquipiers à Chelsea.
Le Belge a passé sept saisons avec les Blues, s’imposant comme l’un des meilleurs joueurs de la Premier League, avant de rejoindre le Real Madrid pour un montant supérieur à 100 millions d’euros en 2019. Le temps de Hazard au Real a été gâché par des blessures, une mauvaise forme et des critiques sur son conditionnement et le joueur de 32 ans a été en marge de l’équipe de Carlo Ancelotti, avec un départ estival probable.
Le milieu de terrain nigérian John Obi Mikel a admis que son ancien coéquipier était « le pire » à l’entraînement mais qu’il était excusé en raison de ses performances sur le terrain. « Tout le monde veut être dans le onze de départ le week-end prochain et il n’y a pas de place pour que vous disiez « je ne veux pas m’entraîner aujourd’hui ». Le seul joueur que j’ai vu faire cela et s’en sortir était Eden Hazard », a déclaré Mikel à Dubai Eye. « Il ne s’entraînait jamais. Le pire. Le footballeur le plus paresseux que j’ai jamais vu dans ma vie. Mais ensuite, le week-end venu, il performe et est l’homme du match. Il est arrivé et s’est dit : « Allez les gars, vous voyez ! ».
« Le joueur le plus paresseux »
Hazard est arrivé à Madrid après avoir réalisé la saison la plus prolifique de son histoire, mais il n’a joué que 51 matches de Liga en quatre saisons avec le Real, et n’a marqué que quatre fois. Il a été critiqué par certains pour son surpoids et, bien que Mikel pense que Hazard a maigri depuis ses jours à Chelsea, il a laissé entendre qu’il n’était pas surpris par le déclin de l’ailier, ayant vu ses habitudes alimentaires de première main.
En fait, je pense que lorsqu’on le regarde maintenant, il a perdu beaucoup de poids », a déclaré Mikel. « Mais quand il était à Chelsea, la veille d’un match, après le dîner, il reste assis là pendant 20 minutes, une demi-heure, à manger du riz au lait. Il aime sa nourriture. A l’entraînement, il se tient à un endroit, dans une position et dit ‘pouvez-vous me passer le ballon ?’. Et on lui dit ‘non, on ne peut pas te passer la balle’ parce qu’on a couru tout le temps ! Puis il va se coucher, se réveille le samedi matin et il est là, il performe. On le laisse faire ce qu’il veut. »
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