Bien que ne faisant plus partie de l’effectif parisien, Julian Draxler demeure une source de tension pour les dirigeants du club.
Depuis jeudi soir, Julian Draxler ne fait plus partie de l’équipe de Christophe Galtier. L’ailier international allemand a rejoint les rangs de Benfica Lisbonne. A priori, le club champion de France s’est débarrassé d’un élément indésirable et qu’il voulait à tout prix exfiltrer avant la fin du mercato. Dans les faits, ce n’est pas totalement vrai. Les responsables franciliens doivent payer une bonne partie de son salaire.
Antero Henrique montré du doigt de toutes parts
Selon une information divulguée par L’Equipe, Paris prend toujours en charge 80% du salaire de Draxler. Soit un peu plus de 4M€ par an. Un sacré montant et qui expliquerait notamment les griefs à l’encontre d’Antero Henrique, qui avait la responsabilité de multiplier les ventes et alléger la masse salariale. Le Portugais a, certes, validé beaucoup de départs, mais les rentrées d’argent restent minimes. D’où le mécontentement de Luis Campos à son encontre.
Draxler n’est pas le seul joueur dont Paris doit encore payer une bonne partie des émoluments. C’est aussi le cas de Layvin Kurzawa (60%) et de Georginio Wijnaldum (40%). Des frais embêtants, et auxquels s’ajoutent aussi les nombreuses clauses intégrées aux contrats pour une option d’achat et qui ont parfois très peu de chances de se réaliser. Par exemple, pour que la Roma soit obligée d’enrôler Wijnaldum, il faut qu’elle se qualifie pour la prochaine C1 et que le Néerlandais dispute la moitié de matches. Avec la grave blessure que le Hollandais a contractée en début de saison, cela semble être très mal parti pour un transfert permanent.
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