Congédié de son poste de sélectionneur, Djamel Belmadi n’entend pas partir sans toucher une fortune de la part de la fédération algérienne.
Djamel Belmadi n’est plus en charge de l’équipe nationale de l’Algérie. Il a été débarqué de ses fonctions suite à l’échec cuisant à la dernière CAN. Toutefois, le technicien natif de Chamigny-sur-Marne n’entend pas partir les poches vides. Il les veut même particulièrement pleines.
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Selon une information divulguée par le média arabophone WinWin, Belmadi demande l’intégralité de ses salaires restants. Soit 36 mensualités. Ce qui équivaut à un montant de 7 millions et 280000 euros. Un sacré montant ! S’il n’est pas satisfait, et dans un délai d’une semaine, il portera l’affaire devant la FIFA.
Belmadi n’a que faire du « contrat moral »
La manœuvre de Belmadi est pour le moins surprenante. Certes, il ne demande que son dû, mais étant algérien et ayant fait savoir à maintes reprises qu’il avait un « contrat moral » avec le peuple, l’ancien coach d’Al-Duhail se conduit comme un vrai mercenaire. Son image en Algérie risque d’être fortement écornée par cette affaire.
Jusqu’à ce que ce conflit ne soit définitivement réglé, la FAF n’est pas en mesure de faire appel à un nouveau coach. Une commission s’est pourtant réunie la semaine dernière pour définir le profil type de celui qui pourrait prendre en main les Fennecs. Il se murmure que Carlos Queiroz serait le grand favori pour débarquer à la tête des doubles champions d’Afrique.
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