Le sélectionneur algérien a décliné une offre mirobolante émanant de l’Arabie Saoudite.
Le club saoudien d’Al-Ahli est aujourd’hui coaché par l’Allemand Matthias Jaissle. Mais, avant de miser sur ce jeune technicien, les responsables de cette formation avaient pensé à un technicien algérien. Leur objectif était de s’attacher les services de Djamel Belmadi.
Belmadi fidèle à la sélection algérienne
Un gros contrat a été proposé à l’actuel sélectionneur des Verts. Le salaire était largement supérieur à celui qu’il touchait de la part de la FAF, mais l’intéressé a su y résister. Il a décliné cette opportunité, préférant poursuivre dans son rôle actuel. Moins lucratif mais plus honorable.
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La semaine dernière, sur les ondes du RMC Sport, Belmadi a reconnu avoir eu des touches avec des clubs du Golfe. « J’aurais pu aller là-bas, surtout que c’est la mode en ce moment, et être tranquille. Mais non, j’ai un travail à finir avec ma sélection et mon pays. Ca aurait été trop facile de partir sur un échec », avait-il confié.
Belmadi n’a pas réussi à qualifier les Fennecs pour la Coupe du Monde au Qatar. A présent, il est déterminé de se rattraper en guidant ses troupes vers le Mondial de 2026. D’ici là, il y aura deux CAN à disputer, dont celle de l’année prochaine au Côte d’Ivoire.
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