SPORT

Deschamps braqué par un ancien international !

Didier Deschamps, l’actuel sélectionneur national, a connu un braquage au couteau lors du passage à Marseille.

Aujourd’hui, personne n’ose attaquer Didier Deschamps. Le sélectionneur national est apprécié de beaucoup de monde et son nom incite le respect. Mais, ce n’était pas le cas il y a une trentaine d’années. Quand il était encore joueur de l’OM, il avait notamment eu droit aux blagues de mauvais gout de la part de son ancien coéquipier Pascal Olmeta.

« Et là Deschamps a pris peur »

S’exprimant dans une longue interview à So Foot, le Corse a raconté la fois où il a braqué DD dans un hôtel. « Après avoir escaladé jusqu’à sa fenêtre, je suis ressorti et je suis revenu frapper à sa porte. Il avait pris peur, et quand il a ouvert, j’étais là avec un gros couteau. Il disait que j’étais jobard, mais bon, c’est pour ça qu’on s’aime autant ».

Deschamps a connu la frayeur de sa vie quand il était joueur à l'OM.

Deschamps a connu la frayeur de sa vie quand il était joueur à l’OM.

L’actuel coach des Bleus n’en avait pas tenu rigueur à Olmeta. En revanche, un autre international de renom l’a carrément boudé pendant plusieurs jours, en la personne de David Ginola. « Il ne m’a pas dit bonjour pendant dix jours, a-t-il confié au sujet de celui qu’il a croisé au Matra Racing. Comme je savais qu’il ne mettait pas de slip sous son survêtement, j’y avais mis des tonnes de pommade genre Baume du Tigre. Alors, à l’échauffement, en transpirant, ça a commencé à chauffer. Il était en feu ! ».

Olmeta pouvait être sympathique avec ses partenaires, mais un peu moins avec les supporters qui lui manquaient de respect. Il a d’ailleurs raconté la fois où il en a agressé un parce ce dernier avait insulté sa mère. « A l’OM, il y avait un mec derrière le but qui n’arrêtait pas. « Eh enculé d’Olmeta, fils de pute, wa, wa, wa… ». Je pensais qu’au bout de dix matches, il arrêterait, mais non. Alors j’ai dit à deux potes boxeurs où il sa place de me le ramener sur le parking après le match. Et bhe je l’ai frappé -j’avais un porte-clé de voiture avec une tête de sanglier dans la paume de la main, j’ai toujours la cicatrice. Quand il est tombé, je l’ai shooté à coup de santiags sur la tête. Moi, je ne suis pas un fils de pute. Ma mère, elle savait d’où elle venait ». Sacré Olmeta.


Source link

Afficher plus

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page

Adblock détecté

S'il vous plaît envisager de nous soutenir en désactivant votre bloqueur de publicité