Invité d’Estelle Denis ce vendredi, Pierre Ménès est revenu sur la période qu’il a vécue ces sept derniers mois. Avec une révélation choc.
A quelques jours du lancement de sa nouvelle plateforme intitulée Pierrot le foot.com, Pierre Ménès refait peu à peu surface dans les médias pour évoquer son nouveau projet. Mais forcément, l’ancien de Canal+ est interrogé à chacune de ses sorties sur les accusations de comportement sexiste dont il a fait l’objet, et sur les répercutions sur sa vie personnelle. Ce vendredi, il s’est à nouveau exprimé sur le sujet, avec un peu plus d’émotion que d’habitude.
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Présent sur le plateau d’« Estelle Midi », Pierre Ménès a donc accepté une fois encore de revenir sur les sept mois ayant suivi la diffusion du documentaire de Marie Portolano et Guillaume Priou, « Je ne suis pas une salope, je suis journaliste ». Apparu particulièrement fragile, le journaliste a évoqué avec difficulté ce moment compliqué, et la manière dont il l’avait vécu : « Très mal, très très mal. Voire même au plus mal. »
« J’ai pensé à faire une bêtise »
Et Pierre Ménès, voix hésitante et regard baissé de poursuivre : « Il y a un moment donné où je ne regardais même plus le foot. Cet Euro, je suis passé presque complètement au travers, un peu comme les Bleus d’ailleurs. Il y a un moment donné où j’ai pensé à faire une bêtise. Mais je me suis auto engueulé tout de suite en me disant ‘il y a moins de cinq ans tu t’es battu comme un chien pour survivre, c’est pas pour en finir avec la haine des réseaux sociaux’. Parce que finalement à l’arrivée c’est quoi cette histoire ? La haine et la lâcheté des réseaux sociaux. Moi je ne l’ai vécue que comme ça. »
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