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Le nouveau sélectionneur du Portugal, Roberto Martinez, s’est exprimé sur le cas Cristiano Ronaldo.
Après le départ de Fernando Santos, la fédération portugaise a choisi de miser sur Roberto Martinez, l’ancien coach de la Belgique, pour s’occuper de la Seleçao. Le technicien espagnol a été présenté ce lundi à la presse. Lors de sa conférence de presse d’intronisation, il a évoqué plusieurs sujets dont celui qui intéresse tous les Portugais. A savoir l’avenir en sélection de Cristiano Ronaldo.
Martinez va parler avec Cristiano Ronaldo
Questionné d’emblée à propos du meilleur buteur de l’histoire des sélections nationales, Martinez s’est montré plutôt évasif. Quand on lui a été demandé s’il envisage de le convoquer, il a répondu : « Ronaldo ? Je veux contacter et parler avec les 26 joueurs qui ont participé à la Coupe du Monde. Il mérite qu’on lui parle et qu’on le respecte. »
Um novo ́ ao serviço de Portugal 🇵🇹: bem-vindo, Mister Roberto Martínez! 🤝 #VesteABandeira
A new at 🇵🇹 service: welcome, Coach Roberto Martínez! 🤝 #WearTheFlag pic.twitter.com/TCDe3yzJr9
— Portugal (@selecaoportugal) January 9, 2023
Martinez va peut-être sonder le quintuple Ballon d’Or et voir s’il est toujours motivé pour défendre les couleurs nationales après ce qu’il a vécu au Qatar. Bien qu’âgé de 36 ans, CR7 a déjà indiqué à maintes reprises qu’il souhaitait participer à l’Euro 2024 en Allemagne.
Martinez excité par ce nouveau projet
L’ancien patron des Diables Rouges s’est aussi exprimé sur son staff. A priori, il n’est pas question de faire une nouvelle fois appel à Thierry Henry. « J’ai une idée très claire de sa structure et on va finaliser ça dans les prochains jours. Je veux intégrer un adjoint portugais qui a joué en Seleção », a-t-il déclaré.
Enfin, Martinez a assuré qu’il va s’investir à fond dans sa nouvelle mission. De la même manière qu’il l’avait fait à son précédent poste. « Je vais essayer d’apprendre le Portugais le plus rapidement possible. Je suis ravi d’entraîner l’une des sélections qui contient le plus de talents au monde. Dès le début des discussions avec le président, j’ai compris que c’était le bon projet. »
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