L’entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti, s’est confié devant les médias, ce mardi, sur ses difficultés à élaborer son onze de départ.
Deux jours après son récital contre Valladolid (6-0), et dix-sept jours après sa défaite sur la pelouse du Barça (2-1) en championnat, le Real Madrid va retrouver son rival historique en demi-finale retour de la Coupe du Roi. Battu 1-0 à l’aller, les Merengues devront montrer un meilleur visage que sur leurs derniers matches face aux Blaugranas. Et ainsi relever un peu ce triste bilan d’une victoire et 3 défaites face aux hommes de Xavi cette saison.
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« Des joueurs indéboulonnables, il y en a plein ici »
Présent en conférence de presse, ce mardi, la veille de ce nouveau Clasico, le coach madrilène, Carlo Ancelotti, a évoqué la nouvelle problématique à laquelle il doit faire face actuellement, à savoir, comment élaborer le parfait onze de départ compte tenu du nombre de joueurs talentueux présents au sein de la Maison Blanche.
« La chose la plus difficile, c’est de choisir. Depuis toujours, a d’abord lancé le technicien italien. La mentalité du footballeur ne va pas changer, eux veulent tous débuter le match. Mais c’est très difficile de choisir un onze de départ, parce qu’évidemment, il y a plus de onze joueurs qui méritent d’en être, a ainsi affirmé Il Mister.(…) Des joueurs indéboulonnables, il y en a plein ici. Mais après, il faut faire un onze ».
« Camavinga a des qualités importantes »
Des décisions qui concernent également le statut d’Aurélien Tchouaméni, relégué au rang des remplaçants depuis peu. A contrario, son coéquipier chez les Bleus, Eduardo Camavinga, très souvent utilisé dans un rôle de latéral gauche pour pallier l’absence de Ferland Mendy, semble souffrir beaucoup moins du retour de la Coupe du monde au Qatar.
« Tchouaméni apporte beaucoup sur le plan défensif, sur les passes, le pressing… Mais Camavinga a des qualités importantes, c’est dur de le presser. Il a bien profité de son moment, il a joué quelques matchs au poste d’arrière gauche, de pivot, et Aurélien a eu un peu plus de mal à revenir du Mondial. Mais désormais, Aurélien est très bien, il est revenu à son meilleur niveau », a ainsi estimé l’entraîneur de 63 ans.
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