En sa qualité de nouveau président de l’association des clubs européens (ECA), Nasser al-Khelaïfi s’est payé lundi les renégats de la Super Ligue.
Au moins d’avril dernier, douze clubs tentaient de faire sécession en annonçant la création d’une Super Ligue indépendante et fermée. Grâce notamment à la réaction des supporters anglais, le projet s’écroulait misérablement quelques heures à peine après sa création. Toujours aux côtés de l’UEFA durant cet épisode, le président du PSG, Nasser al-Khelaïfi, était ce lundi à la tribune de l’Assemblée générale de l’ECA. L’occasion pour lui de revenir sur ce fameux épisode.
Et le patron de l’association des clubs européens a sorti le flacon de vitriol devant l’assistance, comme le relaye Foot Mercato. « Mesdames et Messieurs, nous n’allons pas nous attarder sur (…) la ‘not-so-Super League’, parce que je n’aime pas accorder trop d’importance aux faiseurs de fables et aux échecs. Nous avons pu nous appuyer sur la détermination et la force du président Ceferin qui a su résister au coup d’État de minuit et ceux qui ont la mémoire courte devraient se rappeler que c’est bien de cela qu’il s’agit. »
Al-Khelaïfi a également eu un mot spécial pour la Juventus, le FC Barcelone et le Real Madrid : « Tandis que les trois clubs rebelles gaspillent de l’énergie, déforment les récits et continuent à crier au ciel, les autres avancent et concentrent toutes leurs forces sur la construction d’un avenir meilleur pour le football européen. »
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