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L’avenir de Lionel Messi fait trembler la
MLS. Et face aux avances venues du Golfe, l’Inter Miami n’a pas
tardé à riposter…
Lionel Messi attire les
convoitises. Et pas n’importe lesquelles. Alors que son contrat
avec l’Inter Miami court jusqu’à la fin de l’année 2025, les
rumeurs d’un départ prématuré vers l’Arabie saoudite ont
brusquement enflammé les réseaux et les couloirs du football
mondial. Face à cette offensive inattendue, le club floridien a été
contraint de réagir avec fermeté.
Une contre-attaque pleine
d’assurance
D’après The Athletic,
la direction d’Inter Miami se montre « extrêmement confiante » quant à sa capacité à
prolonger le contrat de l’Argentin au-delà de 2025. Le club,
propriété de David Beckham, multiplie en coulisses les démarches
pour sceller rapidement un nouvel accord. Objectif :
verrouiller l’avenir de sa star face à la puissante offensive
lancée par Al-Ahli, club saoudien soutenu par les ambitions
politiques et financières du royaume.
Côté golfe, les signaux sont
clairs : après Cristiano Ronaldo et Neymar, les dirigeants de la
Saudi Pro League rêvent de faire tomber le dernier joyau.
L’Équipe révèle
qu’Al-Ahli est prêt à déployer de sérieux arguments pour convaincre
le champion du monde 2022 de rejoindre Riyad. Si aucun chiffre
n’a encore filtré, l’idée de faire de Messi une vitrine régionale
ressurgit avec insistance.
Messi
convoité par l’Arabie : Miami contre-attaque
Messi, pilier du projet
floridien
Depuis son arrivée en MLS à
l’été 2023, Messi a conquis les États-Unis : Leagues Cup,
Supporters’ Shield, MVP 2024… et un rayonnement international
incomparable. Javier Mascherano, désormais entraîneur de Miami,
compte plus que jamais sur lui pour structurer son équipe. Un
départ de Messi serait une perte sportive, mais aussi une
catastrophe commerciale pour le club et la ligue.
Plus qu’un simple dossier
mercato, l’avenir de Lionel Messi cristallise deux visions du
football moderne : celle d’un développement structuré en MLS face
au modèle ultra-capitalisé du Golfe. Pour Miami, le message est
clair : il n’est pas question de céder. Pas encore.
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