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Passionné et passionnel, Roberto De Zerbi ressemble à l’Olympique de Marseille. Le technicien italien l’a démontré à plusieurs reprises lors de sa première année sur le banc marseillais.
Personne n’a oublié son attitude après la défaite au Vélodrome contre l’AJ Auxerre (1-3). De Zerbi avait alors lâché qu’il était prêt à déchirer son contrat pour partir sans réclamer la moindre indemnité s’il n’était pas à la hauteur des attentes.
De l’eau a coulé sous les ponts, et le fougueux italien a mis de l’eau dans son vin une fois le rideau de la saison tiré. Avec un peu de recul, l’entraîneur de l’OM a ainsi reconnu que le public du Vélodrome, réputé pour son incroyable passion, pouvait parfois inhiber ses joueurs.
« En début de saison, le Vélodrome faisait peur »
« Ils peuvent vraiment influencer le résultat, a lancé Roberto De Zerbi dans le podcast italien Supernova. Ils peuvent être à la fois le moteur et le frein. En début de saison, le Vélodrome faisait peur : trop de pression, trop de tension. Le Vélodrome était un frein pour beaucoup de joueurs. On gagnait à l’extérieur, mais à domicile on perdait. »
« On a dû en parler ensemble, comprendre ce que signifie jouer pour Marseille, a continué De Zerbi, qui s’est ensuite félicité d’avoir su appréhender l’environnement du Vélodrome. Quand tu arrives à créer une connexion avec le public, tu joues vraiment avec un douzième homme. Et surtout pendant la phase retour, on a été l’équipe qui a pris le plus de points à domicile en France. »
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