Nothing a décidé de mettre l’accent sur la partie photo de son (3a) Pro avec un zoom périscopique et un macro sur le téléobjectif. Le smartphone est très bien équilibré sur la partie photo, mais on sent quand même de la saturation qui rendent les photos plus colorées qu’elles ne le sont déjà. Au moins Nothing offre une régularité colorimétrique sur ses capteurs qui fait qu’on a pas l’impression d’avoir un téléphone différent dans les mains selon qu’on zoome ou qu’on utilise l’ultra grand angle. On un zoom qui va de x2 à x60, mais attention à ne pas trop zoomer car l’appareil passe sur du numérique au dessus de x6 et l’appareil va lisser tout au possible pour ne pas afficher une bouillie de pixels mais le résultat n’est pas là.
Légère différence entre le (3a) et le (3a) Pro, c’est le retour au capteur de 50 MP sur le capteur frontal. Là, encore, la lumière est bien gérée mais on va avoir une saturation quand même avec ici la peau très rose. Les barrières à l’arrières ont un rendu plat alors que le sujet (moi) est plutôt bien défini.
Enfin de nuit, on aura des clichés satisfaisants mais une tendance encore à modifier les couleurs. Les lumières font plus chaudes qu’au naturel, mais les sources de lumières sont mieux gérées que sur le (3a).
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