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l’opus le plus lucratif jamais imaginé de la saga

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Le nouvel opus Jurassic World Rebirth suscite de vives réactions parmi les fans, certains y voyant avant tout une opération commerciale majeure. Cette sortie s’inscrit dans la continuité d’une franchise déjà réputée pour ses succès financiers.

Tl;dr

  • Produit marqué par un placement de produits excessif.
  • Intrigue peu originale et personnages creux.
  • But commercial évident, au détriment de la créativité.

Un blockbuster sous influence : la franchise en perte d’inspiration ?

S’il fallait résumer en un mot la sortie de Jurassic World Rebirth, ce serait sans doute « opportunisme ». Certes, le film bénéficie d’une réalisation solide signée Gareth Edwards et de visuels à couper le souffle. Pourtant, derrière l’emballage spectaculaire, difficile de ne pas voir une machine à profits dont les rouages tournent à plein régime – quitte à reléguer la créativité au second plan.

Le règne du placement de produit

À peine les premières scènes passées que le spectateur se retrouve confronté à une accumulation flagrante de marques. Un exemple frappant ? Un banal emballage Snickers parvient, de façon tout à fait improbable, à paralyser un centre de recherche ultrasophistiqué. Le procédé prête à sourire mais laisse surtout songeur sur l’audace du placement publicitaire. La séquence dans la station-service enfonce le clou : entre paquets de Lays et affiches Dr Pepper soigneusement cadrées, l’immersion s’effrite au profit des intérêts commerciaux.

La franchise avait déjà montré des signes d’essoufflement en matière d’originalité ; ici, c’est le sens même du spectacle qui se dilue dans la promotion.

Des dinosaures… pour vendre des jouets ?

L’exploitation commerciale ne s’arrête pas là. Les spectateurs aguerris remarqueront rapidement l’apparition calculée d’un bébé Aquilops accompagnant le personnage d’Isabella (interprétée par Audrina Miranda). Ce dinosaure miniature, au rôle narratif quasi-inexistant, semble conçu pour déclencher une vague de ventes dérivées – Lego n’a d’ailleurs pas tardé à sortir sa propre version. On est loin du souffle épique ou même de l’audace narrative attendus.

Originalité absente et personnages fades

Au-delà des aspects mercantiles, l’intrigue donne une désagréable impression de déjà-vu. La thématique des dinosaures mutants avait apporté un certain renouveau dans le premier Jurassic World, mais ici elle est recyclée sans brio. Même la musique iconique composée par John Williams sert davantage d’effet nostalgique que d’élément fédérateur.

Côté casting, malgré l’engagement indéniable de Scarlett Johansson, Johnathan Bailey ou encore Mahershala Ali, les personnages peinent à marquer les esprits. Leurs histoires manquent cruellement de profondeur ; tout juste a-t-on droit à des esquisses vite oubliées ou à des redites – le passé trouble de Zora évoque fortement celui vu chez Black Widow.

Si Jurassic World Rebirth propose quelques prouesses techniques, il incarne surtout une stratégie industrielle visant le succès immédiat plus qu’une proposition artistique mémorable. Reste à savoir si ce choix assumé trouvera son public sur la durée…

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