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Le film Stargate détient un record du monde Guinness remarquable, une prouesse qui marque l’histoire du cinéma. Cette performance exceptionnelle place le long-métrage dans une catégorie à part, laissant entrevoir la difficulté de surpasser un tel exploit.
Tl;dr
- Tournage unique de Stargate: Continuum dans l’Arctique.
- Deux films concluent l’histoire de SG-1.
- Guinness World Record pour la scène la plus au nord.
L’après « SG-1 » : une franchise en pleine mutation
La fin, en 2006, de Stargate SG-1, après dix saisons riches en rebondissements, aurait pu marquer un coup d’arrêt définitif à l’univers créé autour du célèbre portail. Mais il n’en fut rien. À cette époque, alors que Stargate Atlantis poursuivait son aventure télévisuelle et que des projets tels que Stargate Universe prenaient forme dans les coulisses, la priorité restait donnée aux histoires issues du vaisseau amiral de la saga : SG-1. Il faut dire que cette équipe d’explorateurs avait su tisser un lien fort avec les spectateurs, grâce à leur exploration constante de galaxies peuplées d’ennemis aussi variés que les Goa’uld, les Réplicateurs ou encore les Ori.
Le pari des suites directes et une ambition inattendue
Pour offrir une véritable conclusion à cette odyssée humaine, deux films furent lancés directement en vidéo en 2008 : The Ark of Truth, puis Stargate: Continuum. Tandis que le premier soldait définitivement le conflit contre les Ori, le second opta pour un récit mêlant voyages temporels et univers parallèles – avec pour objectif affiché d’offrir un adieu à la hauteur des attentes. Fait notable : malgré des moyens limités (7 millions de dollars là où chaque épisode télévisé coûtait déjà près de 2 millions), la production prit le pari risqué de sortir des studios.
L’incroyable défi du tournage dans l’Arctique
C’est justement là que se dessine l’exploit qui vaudra à Stargate: Continuum sa place dans le Guinness World Records. Certaines séquences clés sont tournées au sein du laboratoire sur glace de la marine américaine, à près de 370 kilomètres de Prudhoe Bay, en Alaska. Cette expédition givrante — la plus septentrionale jamais réalisée pour un film — a marqué durablement ses participants. À ce propos, Amanda Tapping (Samantha Carter) confie : « C’était une occasion unique dans une vie… on vivait sur une banquise mouvante au milieu de l’océan Arctique, on assistait à l’émergence d’un sous-marin nucléaire à travers la glace… Personne n’avait jamais posé le pied ici avant nous. »
Les contraintes logistiques furent multiples : certains acteurs comme Michael Shanks (Daniel Jackson) durent même être absents lors des prises arctiques, poussant le scénario à s’adapter via quelques astuces narratives. Mais ces difficultés participèrent paradoxalement au charme du long-métrage.
Bilan : un final glacial mais inoubliable pour « SG-1 »
Au-delà du simple hommage aux fidèles fans de la saga, ce dernier opus brille par son authenticité visuelle et sa capacité à se renouveler jusque dans sa manière d’être conçu. Preuve qu’à force d’audace et d’attachement à leur univers, les artisans de Stargate SG-1 ont su graver leur nom jusque sur les étendues glacées du Guinness Book.
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