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La série télévisée Alien de FX se déroulera trois décennies avant le premier film

La première histoire de la licence Alien à se passer sur Terre.

Écrite et réalisée par Noah Hawley, la préquelle d’Alien sur le petit écran est une production conjointe entre 20th Television et Scott Free Productions, et sera diffusée sur FX on Hulu (plateforme de streaming qui va fusionner avec Disney+ dans les prochaines semaines). Le casting est composé de Sydney Chandler (Wendy, une méta-humaine qui a le corps d’une adulte et la conscience d’une enfant), Alex Lawther (CJ, un soldat), Samuel Blenkin (Boy Kavalier, un PDG), Essie Davis (Dame Silvia), Adarsh Gourav (Slightly), Kit Young (Tootles), Timothy Olyphant (Kirsh, un synthétiseur, mentor et formateur de Wendy) et David Rysdahl.

Weyland-Yutani Corporation sera au coeur de la série Alien

La série de Noah Hawley sera la première histoire d’Alien se déroulant sur Terre et, à en juger par ses commentaires, elle explorera les aspects les plus terre-à-terre de la franchise. Le réalisateur américain a également évoqué l’inclusion de la Weyland-Yutani Corporation, l’énorme entreprise que l’on retrouve dans presque tous les films Alien, et la façon dont il prévoit de produire à la fois une série qui capture l’aspect action-horreur de la franchise Alien et une série qui explore d’autres thèmes établis dans l’univers :

Dans les films, nous avons la Weyland-Yutani Corporation, qui développe clairement l’intelligence artificielle, mais que se passe-t-il si d’autres entreprises essaient d’envisager l’immortalité d’une manière différente, avec des améliorations cyborg ou des téléchargements transhumains ? Il s’agit en fin de compte d’une question classique de science-fiction : l’humanité mérite-t-elle de survivre ? Comme l’a dit Sigourney Weaver dans le deuxième film, “Je ne sais pas quelle espèce est la pire. Au moins, elles ne s’envoient pas en l’air pour un pourcentage”. Même si la série représentait 60% de la meilleure action horrifique de la planète, il en reste 40% pour lesquels nous devons nous demander : “De quoi parlons-nous, en dessous de tout cela ? Sur le plan thématique, il faut que ce soit intéressant. C’est une leçon d’humilité que de jouer avec l’iconographie de ce monde.


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