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Alors qu’Ederson décline, Manchester City
prépare une opération choc pour recruter un gardien star. Un nom
circule, et il pourrait tout changer.
Manchester City, printemps 2025. Entre les poteaux de City,
l’incertitude règne. Ederson, autrefois mur impénétrable, enchaîne
les blessures et les doutes. Stefan Ortega, son remplaçant,
grignote du terrain. Dans l’ombre, Pep Guardiola rumine. Le
technicien catalan, connu pour son exigence absolue,
aurait « perdu patience » selon The Mirror. Un constat
brutal pour le Brésilien de 31 ans, dont la chute interroge. Mais à
Manchester, on ne pleure pas les héros déchus… on les remplace.
La solution s’appelle Diogo Costa. Le gardien du FC Porto, 24
ans, est la priorité absolue de City pour succéder à Ederson.
Réputé pour ses réflexes électriques et sa maîtrise du jeu au pied
— qualité clé pour s’intégrer au système Guardiola —, le Portugais
incarne l’avenir. Un avenir coûteux : sa clause libératoire s’élève
à 74 millions d’euros. Mais les Skyblues comptent négocier,
espérant le débaucher pour 59 millions d’euros.
Les
jours d’Ederson à City sont comptés.
Si City rechigne à payer l’intégralité de la clause, c’est que
le club mise sur un effet de levier. Costa, sous contrat jusqu’en
2027, n’a jamais caché son ambition de briller dans un Top 5
européen. Les dirigeants mancuniens savent que Porto, en difficulté
financière chronique, pourrait plier sous une offre inférieure mais
immédiate. Un calcul risqué, mais réaliste.
Ederson – Ortega, un duo en sursis
La relégation d’Ederson sur le banc n’est plus un tabou.
Malgré le record de passes décisives en Premier League établi cette
saison, ses absences répétées (4 blessures depuis août) ont
convaincu Guardiola de tourner la page. Stefan Ortega, solide mais
limité, resterait numéro 2. Un scénario qui place Costa en position
de force… s’il assume le poids du maillot.
Recruter un gardien à 59M€ n’est pas un choix, c’est une
nécessité. Guardiola, obsédé par le contrôle, exige un dernier
rempart capable de « jouer en libéro ». Costa, formé à l’école
portugaise — technicienne et offensive —, correspond au profil.
Mais à ce prix, les marges d’erreur sont nulles.
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