Sony Pictures Entertainment et Sony Pictures Animation vont encore impressionner le monde de l’animation avec Spider-Man : Across the Spider-Verse.
Lorsque Spider-Man : Into the Spider-Verse est sorti au cinéma en 2018, il a marqué une rupture avec l’animation générée par ordinateur telle que nous la connaissons, en remodelant le médium devant nous pour en faire quelque chose d’entièrement nouveau. En jouant avec la fréquence d’images, les différents styles d’animation, les textures des bandes dessinées et bien d’autres choses encore, il a détruit les règles du jeu et a écrit les siennes, en parfaite synchronisation avec l’histoire d’origine du nouveau héros Miles Morales. Cela va encore s’accentuer avec Spider-Man : Across the Spider-Verse (mars 2023) et Spider-Man : Beyond the Spider-Verse (avril 2024).
Grateful for this new look at Spider-Man: Across the #SpiderVerse pic.twitter.com/K16OBuKtTW
— Spider-Man: Across The Spider-Verse (@SpiderVerse) November 23, 2022
Le producteur Phil Lord (The Afterparty, Bless the Harts, The Last Man on Earth) a déclaré au micro d’Empire Online :
Le premier film avait un seul style d’animation qui prédominait dans le film. Ce nouveau film en a six. Nous reprenons donc ces outils, en y ajoutant tout ce que nous avons appris sur The Mitchells vs The Machines, puis nous les développons pour concrétiser l’ambition de la production. Il s’agit de vous épater à chaque fois que vous pénétrez dans un nouvel environnement, et aussi de s’assurer que le style du film reflète l’histoire, et que les images sont motivées par des sentiments, par opposition à un projet artistique sans queue ni tête. Ce qu’il est aussi, d’ailleurs !
Le voyage de Miles Morales dans le multivers ne fait que commencer
Le producteur Christopher Miller (Clone High, Los Frikis, Making History) a déclaré que les fans peuvent s’attendre à un périple épique à travers les différents univers de Spider-Man :
Les deux que vous avez vus dans la première bande-annonce étaient ce qu’on appelle la Terre 50101, que nous appelons Mumbattan – qui est basée sur un aspect de bande dessinée indienne – et Nueva York du monde de Spider-Man 2099. Cette dernière est basée sur des illustrations de style Syd Mead de ce à quoi le futur pourrait ressembler. Il y a aussi le monde de Gwen, qui est la Terre-65. C’est un style aquarelle qui rappelle les couvertures de ses comics.