Les attentes élevées, les comparaisons inévitables avec l’original et une mauvaise réception critique sont parmi les raisons pour lesquelles les suites de grands films échouent souvent. Quelle autre raison pourriez-vous imaginer pour expliquer cet échec ?
Tl;dr
- De nombreux films à succès ont des suites qui échouent commercialement malgré leur qualité.
- Les attentes élevées, l’écart temporel entre les films et les critiques négatives peuvent contribuer à cet échec.
- Des films comme Crank: High Voltage, Doctor Sleep et Terminator: Dark Fate illustrent ce point.
- Ces suites offrent souvent une expérience cinématographique riche et novatrice, malgré leur faible performance au box-office.
Les suites de films : entre attentes démesurées et échecs commerciaux
Les succès de films tels que Indiana Jones et Terminator ont conduit à la création de suites qui, malgré leur qualité, ont connu des échecs commerciaux. Les attentes élevées du public, souvent alimentées par l’impact culturel de l’original, peuvent entrainer une déception sévère lorsque ces attentes ne sont pas atteintes. Parfois, l’écart temporel entre l’original et la suite peut également contribuer à une perte d’intérêt de la part de l’audience principale.
Des films marquants aux suites décevantes
Des films comme Crank: High Voltage et Doctor Sleep illustrent parfaitement cette problématique. Le premier suit le personnage emblématique de Jason Statham, Chev Chelios, à travers un périple chaotique et violent, malgré l’implantation d’un cœur artificiel. Malgré un budget de 20 millions de dollars, le film n’a rapporté que 34,6 millions de dollars au box-office mondial. Le second, suite du célèbre The Shining, mêle habilement horreur psychologique et éléments surnaturels pour offrir une expérience cinématographique captivante. Cependant, son budget de 55 millions de dollars ne fut pas couvert par les recettes mondiales de 72 millions de dollars.
Des suites sous-estimées malgré leur potentiel
En dépit de ces échecs commerciaux, nombre de ces films offrent une expérience cinématographique riche et novatrice. Par exemple, Terminator: Dark Fate explore des thèmes tels que le destin et la survie, tout en offrant une action palpitante. Malgré un accueil relativement positif, le film n’a pas réussi à couvrir son budget colossal de 196 millions de dollars avec ses recettes de 261 millions de dollars.
En conclusion : ne jugez pas un film par ses recettes
Il est donc clair que l’échec commercial d’un film ne reflète pas nécessairement sa qualité. De nombreux films à succès ont des suites qui, malgré leur échec au box-office, offrent une expérience cinématographique enrichissante et innovante. Que ce soit par des attentes élevées, l’écart temporel entre les films ou des critiques négatives, ces films méritent une reconnaissance pour la valeur qu’ils apportent à l’art cinématographique.
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