Luis Enrique écarte son meilleur joueur

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Surprise dans la compo parisienne : Luis
Enrique laisse sur le banc son maître à jouer pour défier Seattle
dans ce match déjà décisif.

La pression monte pour le PSG à
l’aube de cette dernière rencontre de phase de groupes face aux
Seattle Sounders, où la victoire est impérative pour s’ouvrir la
porte des huitièmes de finale de la Coupe du Monde des clubs. Après
une prestation décevante face à Botafogo, Luis Enrique a choisi
d’opérer plusieurs rotations, misant sur la fraîcheur et la
profondeur de son effectif. Mais c’est surtout une absence majeure
qui retient l’attention, preuve que le coach espagnol n’hésite pas
à prendre des décisions fortes dans un moment crucial.

Car c’est bien Vitinha,
véritable chef d’orchestre de l’entrejeu parisien depuis le début
de la compétition, qui débute ce soir sur le banc. Un choix qui
interpelle, tant le Portugais s’est imposé comme l’un des éléments
incontournables de l’équipe ces derniers mois. Mais après deux
rencontres éprouvantes sous la canicule californienne, l’entraîneur
a préféré le ménager, misant sur sa capacité à faire la différence
dans les matchs couperets à venir. À la place de Vitinha, c’est le
Sud-Coréen Kang In-Lee qui hérite des clés du milieu, accompagné
par Joao Neves et Fabian Ruiz.

Turnover inattendu au milieu
et en attaque

La surprise ne s’arrête pas
là, puisque Warren Zaïre-Emery, titulaire indiscutable en début de
saison, prend lui aussi place sur le banc. Cette nouvelle donne
témoigne d’une hiérarchie mouvante au PSG, où chaque performance
peut rebattre les cartes. Si la jeunesse patiente, c’est bien
l’expérience qui est privilégiée pour affronter une équipe de
Seattle réputée athlétique et disciplinée.

Coup de
tonnerre : Vitinha sur le banc face à Seattle

En défense, Luis Enrique fait
confiance au duo brésilien Marquinhos-Beraldo dans l’axe, avec Nuno
Mendes à gauche et Hakimi à droite, tandis que Donnarumma garde sa
place dans les buts. William Pacho, lui aussi ménagé, laisse sa
place pour préserver un effectif compétitif sur la durée du
tournoi.

En attaque, aucune surprise
sur les ailes : Bradley Barcola et Désiré Doué encadrent Gonzalo
Ramos, titularisé à la pointe malgré les critiques récurrentes sur
son efficacité. Le Portugais joue gros, lui qui peine à faire taire
ses détracteurs et voit cette rencontre comme une possible dernière
chance de s’imposer comme numéro un devant.
Ousmane Dembélé, de retour à l’entraînement,
devra patienter,
tandis que Kvaratskhelia démarre sur le banc dans le cadre d’une
rotation préventive.

Une équipe du PSG compétitive
malgré tout

Ce onze, loin d’être le plus
classique, démontre la volonté de Luis Enrique d’insuffler de la
concurrence et de garder ses cadres frais pour la suite. Il espère
que ce turnover sera l’occasion de provoquer une réaction d’orgueil

après la défaite face à Botafogo
. La qualification n’est plus
une option : Paris doit s’imposer pour ne pas dépendre du résultat
d’Atlético-Botafogo. Une tâche à la portée de cette équipe, à
condition de retrouver intensité, rigueur et efficacité devant le
but.

Ce match contre Seattle sonne
donc comme un test de caractère pour les Parisiens, où chaque
joueur aligné devra prouver qu’il mérite sa place, peu importe son
statut. Luis Enrique l’a répété : à Paris, il n’y a pas de
titulaires indiscutables. Ce soir, l’heure est à la démonstration
collective et à la reconquête d’une dynamique positive pour aborder
la suite du tournoi avec ambition.

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