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À quelques jours de la finale européenne,
l’Inter Milan fait face à un risque de pénalité qui pourrait tout
bouleverser avant d’affronter le PSG…
La tension monte du
côté de l’Inter Milan,
futur adversaire du Paris Saint-Germain en finale de Ligue des
champions. Dans les travées du club lombard, l’inquiétude gagne
les supporters et l’encadrement : à moins de deux semaines du grand
rendez-vous européen, les Nerazzurri pourraient devoir composer
avec un handicap inattendu. De blessure imprévue à sanction
disciplinaire ou contrainte organisationnelle, les spéculations
vont bon train sur la véritable nature du problème qui plane sur la
préparation de l’équipe italienne.
Un match
supplémentaire à gérer pour l’Inter ?
La pénalité qui guette l’Inter n’est autre que la perspective de
disputer un match d’appui en Serie A, juste avant la finale de
C1. En effet, selon les derniers scénarios, les hommes de
Simone Inzaghi pourraient être contraints de jouer un
« spareggio », un match décisif pour le titre de champion d’Italie,
le lundi 26 mai, soit à peine cinq jours avant de défier le PSG à
Munich. Cette situation, rarissime dans l’histoire du Calcio, n’est
intervenue qu’une seule fois, en 1964.
Ce possible match
d’appui survient en raison d’une égalité parfaite au sommet du
classement entre Naples et l’Inter. Si les deux équipes finissent à
égalité de points après la dernière journée, le règlement prévoit
cette finale inédite pour désigner le champion. Un contretemps
majeur pour l’Inter, qui espérait bénéficier d’une semaine pleine
pour préparer son ultime défi européen. Entre tension, fatigue
accumulée et gestion des effectifs, ce scénario redistribue les
cartes à l’aube du grand rendez-vous.
Un casse-tête pour
Simone Inzaghi
Déjà privé de son
entraîneur lors de la dernière journée de championnat en raison
d’une suspension, l’Inter va devoir jongler avec les priorités :
jouer à fond le scudetto ou préserver ses forces pour la C1 ?
D’autant que la pression monte côté napolitain, et qu’aucune des
deux équipes ne souhaite céder le moindre centimètre. Dans les
bureaux de l’Inter, on redoute autant l’usure physique que la
tension nerveuse.
Pour le PSG, cette
situation inattendue pourrait s’avérer être un avantage inattendu à
Munich. Les Parisiens, qui disposeront d’un calendrier allégé,
pourront peaufiner leur préparation et miser sur une fraîcheur
physique supérieure. Mais l’histoire l’a montré : l’Inter, même
bousculé, a souvent su se surpasser dans l’adversité. Un épilogue
de saison à suspense, où chaque détail comptera.
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