SPORT

Le clash qui a révélé son plus gros défaut

Après le 4-1 de l’Argentine face au
Brésil, le président Javier Milei tacite Neymar, absent pour
blessure : « Il a raté la danse… »


La victoire écrasante de l’Argentine face au Brésil (4-1) en
qualifications pour la Coupe du monde 2026
n’aura pas suffi à
contenter Javier Milei. Le président argentin a profité de
l’occasion pour lancer une pique cinglante à Neymar, absent du
Clásico sud-américain. « Considérant à quel point Neymar aime
faire la fête, c’est étrange qu’il ait raté cette danse »
,
a-t-il ironisé, faisant référence aux polémiques passées du
Brésilien sur son mode de vie.

Privé de Neymar (blessure musculaire contractée sous le maillot
de Santos), le Brésil a sombré face à une Argentine pourtant privée
de Messi. La Seleção, déjà en difficulté dans ces qualifications
(6ᵉ défaite), a subi une humiliation symbolique.
L’absence du numéro 10 brésilien a alimenté les critiques… et les
moqueries.

L’humiliation ultime de Neymar par l’Argentine

L’humiliation ultime de Neymar par l’Argentine

Javier Milei, connu pour ses déclarations provocatrices, n’a pas
résisté. En pleine euphorie post-match, il a visé Neymar,
régulièrement épinglé pour ses sorties nocturnes. « Il adore
festoyer, mais ce soir, il n’était pas là »,
a-t-il ajouté.
Une attaque qui résonne comme un camouflet pour le Brésilien, déjà
fragilisé par des années de blessures récurrentes.

Un Clásico sans Neymar, un Brésil en crise

Avec 79 buts en 128 sélections, Neymar reste une légende vivante
au Brésil. Mais ses absences répétées (il a manqué 47 matches en 4
ans) interrogent. À 33 ans, sa participation au Mondial 2026 semble
compromise, d’autant que Santos a confirmé son forfait pour le
prochain match de Serie A. « On ne peut pas construire un
projet autour d’un joueur aussi fragile »
, lâche un proche de
la CBF.

Pendant ce temps, l’Argentine savoure. Qualifiée pour le Mondial
2026 avant même d’affronter le Brésil, la Albiceleste a confirmé sa
domination. Sans Messi, mais avec un collectivisme héroïque

(buts de Julián Álvarez, Enzo Fernández, etc.)
, elle assoit son
statut de favorite. Pour Milei, c’est aussi une victoire politique
: « Le football reflète notre esprit combatif », a-t-il
conclu.




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