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Moins de 24 heures après la lourde
défaite de son club en Coupe du Monde des Clubs, David Beckham a
trouvé un terrain d’évasion inattendu.
Dimanche soir, sur la pelouse californienne où il rêvait
d’écrire une page mémorable de l’histoire de l’Inter Miami, David
Beckham a dû assister à l’impuissance de son équipe. Le PSG, en
mode rouleau compresseur,
a infligé un 4-0 sans appel à la franchise américaine, mettant
en lumière l’écart abyssal entre les ambitions portées par le nom
de Beckham et la réalité du terrain. Pas un mot, pas une réaction
officielle du propriétaire après cette élimination douloureuse.
Mais c’est à Londres, de l’autre côté de l’Atlantique, que l’on
a retrouvé l’ancienne star anglaise le lendemain. Lundi après-midi,
David Beckham s’est affiché à Wimbledon, en tribunes,
pour assister au duel entre Fabio Fognini et Carlos Alcaraz.
Détendu, en compagnie de Gareth Southgate, l’ancien sélectionneur
et ami, il semblait loin du tumulte de la Coupe du Monde des Clubs.
Un changement de décor qui interroge, alors que l’écart entre son
projet floridien et l’élite européenne a rarement été aussi
évident.
Beckham, entre PSG, Wimbledon et tensions familiales
L’ironie du sort voulait que ce soit justement le PSG, ancien
club de Beckham, qui mette fin aux rêves de son Inter Miami. Son
court passage à Paris en 2013 avait laissé un souvenir fort,
empreint de respect et d’élégance. Cette fois, c’est la rigueur du
PSG qui a réduit à néant l’espoir d’un exploit. Même Lionel Messi,
pilier de l’aventure floridienne, n’a pu faire trembler la machine
parisienne.
Entre échec sportif et tensions familiales –
son différend avec son fils Brooklyn s’affiche de plus en plus dans
les tabloïds –, Beckham traverse une zone de turbulence. Mais
comme souvent, il choisit le contrôle. Pas de crise publique, pas
de débordement. Juste une présence calculée à Wimbledon. En
silence.
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