On pourrait croire que nous savons, cependant OpenAI reste silencieux et refuse de nous informer.
Tl;dr
- OpenAI a dévoilé un modèle de génération vidéo appelé Sora.
- Sora peut transformer des instructions textuelles en vidéos photoréalistes.
- Les informations sur les données utilisées pour entraîner Sora restent vagues.
- Des critiques s’élèvent sur l’origine, possiblement illégale, des données d’entraînement.
OpenAI étonne avec Sora, son nouveau modèle de génération vidéo
L’innovation continue de marquer le pas dans le monde de l’intelligence artificielle. Preuve en est, OpenAI a récemment dévoilé Sora, un modèle de génération vidéo impressionnant capable de convertir des instructions textuelles en des séquences photoréalistes.
De la complexité à la véracité
Chacune des démonstrations de Sora étonne par sa complexité et sa précision. Des vidéos basées sur des descriptions textuelles simples se transforment en représentations authentiques aux détails soignés. À tel point que les images produites par Sora pourraient presque être prises pour des œuvres filmées par des professionnels.
L’ombre d’une éthique en question
Pourtant, en dépit de cette prouesse technologique, une question de taille persiste : qu’est-ce qui a permis à OpenAI d’atteindre ce niveau ? L’association a été plutôt discrète quant à l’origine des données utilisées pour entraîner Sora. En l’absence d’une clarification de la part d’OpenAI, les spéculations sur une éventuelle utilisation de “œuvres protégées par des droits d’auteur” ont commencé à émerger.
Un flou artistique générant des controverses
Dans une note de blog, OpenAI a simplement déclaré s’inspirer des modèles de langue à grande échelle, sans toutefois préciser la source des données utilisées pour l’apprentissage de Sora. Cette énigme alimente le débat sur l’éthique de la collecte de données pour l’IA, débat qui n’est pas nouveau dans l’écosystème OpenAI.
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