Arthur Fery brille à Wimbledon, Lorient en profite

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Pendant que Lorient prépare son retour en
Ligue 1, le fils de son président réalise un exploit inattendu à
Wimbledon et attire l’attention sur les Merlus.

Alors que le FC Lorient prépare
activement son retour en Ligue 1, une performance inattendue sur
gazon attire les projecteurs sur son président. Arthur Fery, fils
de Loïc Féry, a signé l’un des premiers grands exploits de
Wimbledon 2025
en éliminant Alexei Popyrin, 31e mondial, au premier tour.
Un
tremblement de terre discret mais marquant pour les amateurs de
tennis… et une curiosité médiatique pour les suiveurs du football
français.

À la tête du FC Lorient depuis
2009, Loïc Féry est aussi un entrepreneur influent, fondateur de la
société de gestion Chenavari. Il partage sa vie entre Londres, où
il réside, et la Bretagne, où il pilote la stratégie du club. Son
objectif reste inchangé : faire du FCL un club stable de Ligue 1.
Après une relégation en 2024,
la remontée rapide cette saison laisse entrevoir une nouvelle phase
ambitieuse.

Arthur
Fery, fils de Loïc Féry, fait chuter un top 40 à Wimbledon

Âgé de 23 ans et classé 391e à
l’ATP, Arthur Fery a bénéficié d’une wild-card britannique pour
disputer le tableau principal. Formé aux États-Unis à Stanford, il
a réussi une entrée fracassante dans le tournoi en battant Popyrin
en trois sets (7-6, 6-3, 6-4). Une victoire qui marque ses débuts
victorieux en Grand Chelem, et qui a fait le tour des médias
britanniques et français.

Tennis et football : la
double réussite de la famille Féry en 2025

Si aucune communication
publique de Loïc Féry n’a accompagné l’exploit, l’écho de ce succès
dépasse le simple cadre familial. Le nom de Lorient a été cité dans
plusieurs publications anglo-saxonnes, évoquant l’identité du père
du joueur. Une visibilité bienvenue pour un club qui cherche à
renforcer son image et séduire de nouveaux partenaires dans un
mercato crucial.

Il y a deux ans, Arthur Fery
avait été aperçu à Lorient lors d’une séance d’entraînement, ballon
au pied. Aujourd’hui, son coup d’éclat à Wimbledon donne un
supplément d’âme à la trajectoire du club. Et rappelle qu’à la
croisée des passions, certains présidents savent conjuguer gazon et
pelouse bretonne avec la même intensité.

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