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Lyon s’impose à Troyes et poursuit sa remontée / Ligue 1 (J21)

Après son match nul encourageant contre le PSG (1-1), l’OL a récolté un précieux succès à Troyes (1-0), ce dimanche.

Les sommets sont encore loin, mais l’OL continue à gagner du terrain. En déplacement ce dimanche sur la pelouse de Troyes, les hommes de Peter Bosz ont signé une précieuse victoire qui leur permet de réintégrer provisoirement le top 10 avant le choc Marseille-Lille. Pas question de faire la fine bouche par les temps qui courent…

Lyon assure l’essentiel

Il faut dire qu’il y avait une classe d’écart, au Stade de l’Aube, entre un promu troyen décontenancé et ces Gones appliqués. Lorsqu’elle évolue au niveau qui doit être le sien, cette équipe lyonnaise montre naturellement un visage plus conforme à son standing. Il n’a pas fallu attendre longtemps pour constater le gap entre les deux équipes dans ce rapport de force. Sans se montrer étincelant, l’OL a imposé sa loi.

Après avoir tenu le ballon dans des proportions importantes durant la première demi-heure, les Lyonnais ont passé la seconde avant la pause. Paqueta a allumé une première mèche (29e), avant que Palmer-Brown, sous la pression de Dubois, ne soit sanctionné pour une faute de main après utilisation de l’assistance vidéo. Moussa Dembélé n’a pas tremblé pour transformer le penalty et placer les siens sur les bons rails (0-1, 33e).

Dans une configuration plus confortable, les Lyonnais auraient pu et dû faire le break avant de regagner le vestiaire. Il leur a manqué un peu de réalisme face à l’excellent Gauthier Gallon, à l’instar de Paqueta (41e) ou Dembélé – encore (44e). Il leur a manqué, aussi, un zeste de chance comme l’a illustré Dubois, dont le tir s’est écrasé sur le poteau (45e). Moins pressants durant le second acte, les Gones se sont attelés à gérer leur avantage. Ils auraient pu le regretter. Mais malgré une frayeur sur une tête de Palmer-Brown en fin de match (80e), le score n’a plus évolué. On attendra encore pour la démonstration, mais l’OL avance. C’est déjà cela. Pour Troyes, Bruno Irles, tout juste arrivé, peut mesurer l’ampleur du chantier.


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