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le casting fait les présentations

Sony Interactive Entertainment et Guerrilla Games présentent les personnages principaux de Horizon : Forbidden West.

Les talentueux comédiens Ashly Burch (la chasseuse de machines Aloy), Carrie-Anne Moss (la mystérieuse et impénétrable Tilda), John Hopkins (Érend, le guerrier oseram jovial), John MacMillan (Varl, l’ami fidèle d’Aloy), Lance Reddick (l’énigmatique Sylens) et Noshir Dalal (le guerrier tenakth Kotallo) discutent de leur rôle dans Horizon : Forbidden West, la prochaine exclusivité PS5 et PS4 de Guerrilla Games.

  • Ashly Burch : “C’est formidable de pouvoir reprendre ce rôle. Aloy est un personnage si riche et passionnant. Maintenant, elle doit endosser un nouveau rôle, avec de nouveaux enjeux, une nouvelle menace, et avec tout ce qu’elle a appris, son évolution en tant que personnage est très intéressante. Aloy est plus grande, plus musclée, et plus forte que moi, mais j’ai le sentiment de bien la connaître. C’est amusant de pouvoir l’incarner dans différents contextes et de voir où sont ses limites
  • Carrie-Anne Moss : “Je joue un personnage que je trouve très intéressant, c’est une personne très compliquée, et j’ai beaucoup aimé l’incarner. Elle a vécu des événements tragiques lorsqu’elle était enfant, mais cette solitude, cette tristesse qui lui vient de son enfance, a un impact sur toute son histoire. Quand on fait ce genre de chose, on dévoile à différentes moments toutes les couches qui la composent, et le fait de trouver sa vérité, et en même temps de l’explorer, c’était vraiment très sympa
  • John Hopkins : “Érend est une espèce de balourd joyeux mais parfois triste avec un penchant pour l’alcool et la violence, qui se rabaisse souvent. Mais en fait, il a vraiment un bon fond. Aloy a totalement sauvé Érend. Après la mort de sa soeur, c’était un homme brisé et elle lui a donné une raison de vivre. Elle le surprend en permanence, sans arrêt, jusqu’à ce qu’au final, il suive son exemple. Je croise que si mon personnage a vraiment été apprécié, c’est grâce à mon incroyable talent d’acteur et à mon immense charisme, mais aussi, je pense, grâce à sa vulnérabilité. Je crois que c’est la vulnérabilité du personnage. Il est plutôt marrant, mais il sait qu’il est loin d’être parfait. Je l’aime bien. Je l’aime vraiment bien
  • John MacMillan : “Pour Varl, je crois qu’un monde sans Aloy serait infiniment plus petit, plus terne. A plusieurs niveaux, son arrivée dans sa vie l’a fait passer du noir et blanc à une explosion de couleurs vives. Il a perdu sa soeur, et ce n’est pas facile de vivre ça, et je pense qu’il l’a affronté avec une grande élégance qui lui a attiré la sympathie de tous les fans. Il a l’air d’être un type bien, je crois que c’est le genre de mec qu’on a envie d’avoir dans son camp. C’est quelque chose de vraiment touchant et gratifiant de jouer le même personnage depuis plusieurs années. J’ai adoré le retrouver, et je suis vraiment honoré d’avoir la chance de l’incarner mais également d’entreprendre ce voyage de découverte avec lui
  • Lance Reddick : “J’ai trouvé l’univers du jeu totalement fascinant. Je ne vais pas mentir, l’idée d’avoir mon visage dans le jeu m’a paru géniale. Le fait d’incarner un personnage fait de plusieurs couches qui sont révélées au fur et à mesure que l’histoire avance, plutôt que tout dévoiler d’un coup, je ne veux pas parler au nom de tous les acteurs, mais personnellement, je trouve que c’est vraiment un rêve. Quand on reçoit les références, on n’a souvent pas de contexte. Ce qui est compliqué, c’est qu’il faut s’appuyer beaucoup plus sur le directeur artistique. Ce qui est gratifiant, c’est, ça va sans dire, de donner vie au personnage. Mais il y a aussi le fait que je découvre l’histoire en jouant le rôle, et c’est vraiment sympa
  • Noshir Dalal : “Kotallo est un guerrier originaire du clan du Ciel du peuple tenakth. C’est un orphelin qui essaie de trouver qui il est parce que sa relation avec sa propre tribu est assez compliquée. On va pouvoir le voir évoluer et devenir lui-même tout au long de ses aventures avec Aloy. Ce que j’ai particulièrement aimé, c’est de maîtriser les mouvements d’un personnage. Je ne voulais pas qu’il soit juste une grosse brute. Je voulais qu’il soit une sorte de panthère, je voulais qu’il ait une certaine grâce et une certaine souplesse parce que quand il se met en mouvement, il est à la fois fascinant et terrifiant. J’ai vraiment hâte que les gens le découvrent et j’espère qu’il leur plaira autant qu’il me plaît




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